Une Parole … Une Prière
TEMPS ORDINAIRE – 24ÈME DIMANCHE LA CROIX GLORIEUSE
« …NON PAS POUR JUGER LE MONDE, MAIS POUR QUE, PAR LUI, LE MONDE SOIT SAUVÉ... »

« En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. »
Évangile de Jésus Christ selon Jean 3, 13-17
Illustration : La Croix Glorieuse, Livre d’Evangiles, miniature du 11ème siècle, Abbaye d’Echternach, Luxembourg
Un rectangle bordé de pourpre et d’or. Sur le fond bleu
se détache une croix cernée de vert, couleur de vie et rayonnant de l’or de la
lumière incréée. Un grand personnage, vêtu d’une longue tunique pourpre, se
tient sur cette croix et étend largement ses bras. C’est le Christ Jésus. Il
tourne la tête vers sa droite.
Sous chacun des bras de la croix, deux autres rectangles:
fond d’or et pourtour rouge sur lequel se détachent une figure féminine à
gauche et masculine à droite: Marie, mère de Jésus et Jean l’évangéliste.
Au-dessus de la croix, de chaque côté, dans
des cercles brodés de vert, sont figurés les bustes de deux personnages: le
Soleil et la Lune.
Une composition sobre, sans fioritures. Les
regards des quatre personnages convergent sur Jésus et nous obligent à regarder
vers lui.
Il est jeune et vivant, les yeux grands
ouverts, le visage paisible.
Marie, qui essuyait ses larmes avec son voile, a
maintenant les yeux grands ouverts, sa main se lève en signe d’étonnement. Et
Jean retient son souffle: « Ce que nous avons vu de nos yeux, nous vous
l’annonçons. » Sa main gauche fait déjà un signe d’appel vers nous.
Le Soleil et la Lune regardent eux aussi vers le Christ.
Toute la création, tout le cosmos sont concernés par la croix glorieuse. De
façon mystérieuse, elle est la clé de voûte de l’univers.
Cependant, rien de triomphant dans cette miniature. De
Jésus émane humilité et douceur. Il rétablit le lien entre ciel et terre. Il
est toute douceur et miséricorde, il est l’homme des Béatitudes.
Ses pieds reposent sur un calice. « II a plu à Dieu de
faire habiter (en son Fils) toute la plénitude et de tout réconcilier par lui
et pour lui, sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang
de sa croix. » (1,20; cf. 2,13-15) La coupe du Salut scelle l’Alliance
éternelle. Tout est grâce. (
: LaXavière)

Méditation du Pape Léon XIV
ANGELUS
Rome - Dimanche 07 septembre 2025

Chers frères et sœurs,
avant de conclure cette célébration tant attendue, je
tiens à saluer et à remercier vous tous qui êtes venus si nombreux pour fêter
les deux nouveaux saints ! Je salue avec affection les évêques et les prêtres.
Je salue avec déférence les délégations officielles et les Autorités
distinguées.
Dans ce climat, il est bon de rappeler qu'hier, l'Église
s'est également enrichie de deux nouveaux bienheureux. À Tallinn, capitale de
l'Estonie, a été béatifié l'archevêque jésuite Edoardo Profittlich, tué en 1942
pendant la persécution du régime soviétique contre l'Église. Et à Verszprém, en
Hongrie, a été béatifiée Maria Maddalena Bódi, une jeune laïque, tuée en 1945
pour avoir résisté à des soldats qui voulaient lui faire violence. Louons le
Seigneur pour ces deux martyrs, témoins courageux de la beauté de l'Évangile !
Nous confions à l'intercession des saints et de la Vierge
Marie notre prière incessante pour la paix, en particulier en Terre Sainte et
en Ukraine, ainsi que dans toutes les autres terres ensanglantées par la
guerre. Je répète aux gouvernants : écoutez la voix de votre conscience ! Les
victoires apparentes obtenues par les armes, semant la mort et la destruction,
sont en réalité des défaites et n'apportent jamais la paix et la sécurité !
Dieu ne veut pas la guerre, il veut la paix, et il soutient ceux qui s'engagent
à sortir de la spirale de la haine et à suivre la voie du dialogue.Pape Léon XIV
Parole de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…

Anniversaire du Concile

œcuménique de Nicée
(325) (VIIb) Quel est l’apport de Basile à la profession
de foi en la Trinité ? Basile est un commentateur de l’Écriture, qui
trouve dans la Bible la source de sa théologie. Comme chaque évêque de son
temps, Basile commente les premiers chapitres de la Genèse, chaque
Semaine Sainte, pour préparer les catéchumènes au baptême. Il a repris ses
homélies sur le sujet dans son Commentaire de l’Hexaémeron, sur les six
jours de la création, en 378. Il rappelle que Dieu a créé à partir de rien, le
premier élément créé étant la lumière.
Il s’inscrit dans le mouvement d’élaboration du symbole
de foi, où le premier article est l’affirmation du Dieu créateur. Reprenant la
manière de penser d’Origène, il réfléchit sur la création « en son Principe ».
Pour ce qui est de la création de l’homme, il montre
qu’il y a une différence avec les autres êtres créés ; l’homme est le résultat
d’une délibération impliquée par le pluriel : « Créons l’homme » (Genèse
1,26). Il intègre ici l’actualisation de la vie baptismale, la vie en Christ,
en vue de la divinisation, sans oublier le combat spirituel.
Basile n’a pas commenté tout le Psautier, mais
seulement les Psaumes 1, 7, 14, 28, 29, 32, 33, 44, 48, 59, 61 et 114.
Il est proche d’Origène. En fait, dans le Commentaire des Psaumes, il
parle essentiellement de l’Église et de son mystère.
Basile a beaucoup rédigé sur le baptême.
Dans un ouvrage rédigé vers 366, il parle de la
préparation au baptême, en lien avec la vie monastique. Basile a demandé le
baptême à l’âge adulte. Il en souligne la radicalité. Il en manifeste
l’analogie avec la théologie du martyre. Il souligne le lien entre le baptême,
la chrismation et l’eucharistie. Il explique la dimension trinitaire du baptême,
en précisant ce que signifie le fait d’être baptisé au nom du Père, du Fils et
du Saint-Esprit. Il commence par le Saint-Esprit qui réalise la transformation,
qui donne de revêtir effectivement le Christ.
Il dit : « Le baptême, c’est, en effet, l’événement par
lequel on entre dans le mystère trinitaire et par lequel la Trinité entre dans
l’histoire de la personne et de la communauté ». Evénement important : c’est à
propos du baptême que Basile introduit une nouvelle doxologie pour mettre en
évidence la nature de la Trinité en elle-même, l’égalité des trois dans la
Trinité, et l’égalité d’honneur qui leur revient : « Puisqu’un baptême nous a
été donné par le Sauveur au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, nous
présentons une confession de foi conforme à ce baptême et une doxologie
conforme à cette foi, en glorifiant le Saint-Esprit avec le Père et le Fils,
parce que nous sommes persuadés qu’il n’est pas étranger à la nature divine. En
effet, ce qui est éloigné comme étranger selon la nature ne saurait participer
aux mêmes honneurs ».
(A suivre)
+ Guy Harpigny,
Evêque de Tournai
Source : Église de Tournai, septembre 2025)

Un mot du Curé…

Préférer l’espérance à l’agitation comme antidote de l’ennui
Il est des livres que l’on ouvre régulièrement sans se
lasser. Le Journal d’un curé de campagne (1936, Grand Prix du Roman de
l’Académie Française 1936) de Georges Bernanos (1888-1948) fait partie de ces
ouvrages qui me reviennent devant les yeux de façon presque rituelle depuis
plus de quarante ans sans doute, sans oublier la si belle adaptation
cinématographique réalisée en 1951
par Robert Bresson (1901-1999). Ces derniers jours, j’ai
repris ma vieille édition Plon Pocket (1974 !) qui reste sans faiblir sur ma
table de chevet, et je m’y suis replongé…
Le Journal d’un curé de campagne raconte
l'existence discrète d'un jeune prêtre catholique dans la petite paroisse
d'Ambricourt (Pas-de-Calais, Hauts-de-France). Meurtri par ses douleurs à l'estomac
et son désespoir devant l’indifférence et le manque de foi
de la population du village, le curé se sent faible,
inférieur, mais croit que la grâce de Dieu passe quand même par son
sacerdoce.
Bernanos livre dans ce roman sa « vision » du
Christianisme de son temps dans nos pays. La réalité était-elle aussi
difficile, aussi « noire » que la décrit l’Auteur ? Je ne sais pas, je n’y
étais pas et les livres d’Histoire sont parfois trompeurs, mais, même si cette
vision est sans doute marquée par son époque, elle reste par certains aspects,
je crois, pertinente devant la réalité contemporaine.
De l’ennui
A chaque fois que je reviens vers cette œuvre, aussi loin
que je me souvienne, je suis
impressionné par ses premières lignes : « Ma paroisse est une paroisse comme
les autres. Toutes les paroisses se ressemblent. Les paroisses d’aujourd’hui,
naturellement (…) Ma paroisse est dévorée par l’ennui, voilà le mot. Comme tant d’autres paroisses ! L’ennui
les dévore sous nos yeux et nous n’y pouvons rien. Quelque jour peut-être la
contagion nous gagnera, nous découvrirons en nous ce cancer. On peut vivre très
longtemps avec ça (…) Je me disais donc que le monde est dévoré par l’ennui.
Naturellement, il faut un peu réfléchir pour se rendre compte, ça ne se saisit
pas tout de suite. C’est une espèce de poussière. Vous allez et venez sans la
voir, vous la respirez, vous la mangez, vous la buvez, et elle est si fine, si
ténue qu’elle ne craque même pas sous la dent. Mais que vous vous arrêtiez une
seconde, la voilà qui recouvre votre visage, vos mains. Vous devez vous agiter
sans cesse pour secouer cette pluie de cendres. Alors le monde s’agite
beaucoup… » (G. Bernanos, Journal d’un curé de campagne, Plon,
Pocket, p. 29-31, extraits).
Oui ! On peut déclarer ce texte daté, ou que le monde a
bien changé depuis 1936, et l’Eglise aussi… Sans aucun doute, mais l’ennui
a-t-il vraiment disparu de notre monde, de nos paroisses ?… Sincèrement, je ne
le pense pas.
La Psychologie définit l’ennui avec ces mots : un
sentiment de vide, de lassitude morale, de manque d'intérêt… N’est-ce pas ce
que l’on constate ? Quelques exemples… Les célébrations dans nos églises, aussi
importantes et aussi belles soient-elles, suscitent-elles encore un intérêt ?
La réalité constatée parle d’elle-même : dans la plupart des communautés, le
samedi, lors de la tournante des messes dominicales, à peine quatre ou cinq
personnes du village, même les personnes qui se disent engagées dans les
paroisses ne se déplacent pas… Quand une activité d’un autre genre (catéchèse
pour adultes, conférences de carême…) est organisée, elle rassemble quelques
personnes que l’on peut souvent compter avec les doigts des deux mains ; nous
l’avons bien constaté lors des nombreuses activités proposées lors du dernier
carême. Enfin, et tout récemment, un sacristain me faisait constater qu’il
faisait sale dans l’église, ce qui était vrai : poussière sur le mobilier,
toiles d’araignées dans tous les coins et à toutes les fenêtres… Il en a parlé
à un fabricien ; réponse : « On fait le nettoyage quand il y a un concert, y’en
a bien assez ! » Voilà où on en est dans
nos églises : on nettoie pour les concerts, mais la Messe du dimanche ou le
baptême des enfants peuvent bien se vivre dans les toiles d’araignées, ce n’est
pas grave ! Pénible… pénible… Si le curé d’Ambricourt dans le Journal de
Bernanos avait encore le zèle et l’enthousiasme de sa jeunesse, il n’en est
peut-être plus de même aujourd’hui…
De l’agitation
Parfois, nous expliquait Bernanos dans l’extrait cité
ci-dessus, de l’ennui naît l’agitation, souvent vide, toujours inefficace : il
faut « faire » envers et contre tout. Et chacun s’agite, et notre monde s’agite
jusqu’à ébullition…
Il faut reconnaître que, dans notre monde contemporain, «
faire » permet d’ « être » et que seul celui qui « fait » est reconnu. A la
rigueur, peu importe ce qui est fait, pourvu que l’on fasse !... On
« fait », on
s’agite… « Marthe, Marthe, tu t’agites pour bien des choses… », disait
Jésus dans l’Évangile selon saint Luc (10, 41-42). Mais l’agitation et l’ébullition peuvent
se faire dangereuses ! Petit rappel de
vos cours de sciences… Lors de ce processus physico-chimique de l’ébullition,
en absorbant l’énergie thermique apportée, les molécules gagnent de l’énergie
sous forme d’énergie cinétique : elles « s’agitent » ! Petit à petit, grâce à
cette agitation cinétique, les forces intermoléculaires qui les tenaient
ensemble se fragilisent et se brisent, et les molécules se séparent : le
liquide passe à l’état gazeux…
Cette petite parabole extraite de nos vieux cours de
sciences ne décrit-elle pas ce qui se passe aujourd’hui partout sur notre
planète, et chez nous, et en nous ? L’agitation frénétique sépare ce qui était
uni ; la folie du « faire » brise les liens de la communion, ces liens si
fondamentaux pour nous, Chrétiens, que seule, l’Eucharistie peut tisser – «
On vous dit : « Le corps du Christ », et vous répondez « Amen ». Soyez donc
membres du corps du Christ, pour que cet Amen soit véridique. » (St Augustin, Sermon 272), et chacun s’échappe dans un
état « gazeux » de solitude. « Mais que vous servirait de fabriquer la vie
même, si vous avez perdu le sens de la vie ? », écrivait encore Bernanos (Journal, p. 47). Et notre monde, en grande
part a perdu le sens de la vie…
De la nécessaire réflexion
Que faire pour retrouver ce sens aujourd’hui tellement
perdu ? L’écrivain français peut, une fois encore, être notre guide : « Il y
a un mot qui commence à courir les presbytères, un de ces affreux mots dits «
de poilu » qui, je ne sais ni comment ni pourquoi, ont paru drôles à nos aînés,
mais que les garçons de mon âge trouvent si laids, si tristes (…) On répète
donc volontiers qu’il ne « faut pas chercher à comprendre ». Mon Dieu ! mais
nous sommes cependant là pour cela !... » (Journal, p. 31).
Chercher à comprendre, cela signifie être capable
d’arrêter l’agitation, de s’asseoir et de prendre le temps de la réflexion.
Voilà sans doute ce qui manque le plus à notre siècle : le temps de la
réflexion, ce « faire » qu’on ne voit pas, qu’on ne peut afficher aux premières
pages des journaux ou sur nos écrans d’ordinateurs toujours agités d’agités et
d’agitateurs, car la réflexion suspend l’agitation et permet de
découvrir un autre « faire » : celui de rêver, même mieux
: d’espérer.
De l’espérance
Oui ! La réflexion peut tourner vers l'espérance : elle
invite à penser un avenir meilleur en dépit des erreurs et incertitudes du
présent : « La foi voit ce qui est. La charité aime ce qui est. L’espérance
voit ce qui n’est pas encore et qui sera. Elle aime ce qui n’est pas encore et
qui sera. Sur le chemin montant, sablonneux, malaisé. Sur la route montante.
Traînée, pendue aux bras de grandes sœurs, qui la tiennent par la main, la
petite espérance s’avance. Et au milieu de ses deux grandes sœ urs elle a l’air
de se laisser traîner. Comme une enfant qui n’aurait pas la force de marcher.
Et qu’on traînerait sur cette route malgré elle. Et en réalité c’est elle qui
fait marcher les deux autres. Et qui les traîne, et qui fait marcher le monde.
Et qui le traîne. Car on ne travaille jamais que pour les enfants. Et les deux
grandes ne marchent que pour la petite » (Charles Péguy, Le Porche du Mystère de la
deuxième vertu).
L’espérance ne serait-elle donc pas l’antitode de
l’ennui, bien plus que l’agitation ?... « Espérer contre toute espérance
», écrivait déjà St Paul dans sa Lettre aux Romains (4, 18)… Cette espérance, le Pape
Léon la commente régulièrement ; ce 10 septembre, il disait : « Chers frères
et sœurs, apprenons aussi cela du Seigneur Jésus : apprenons le cri de
l’espérance lorsque vient l’heure de l’épreuve extrême. Non pas pour blesser,
mais pour nous confier. Non pas pour hurler contre quelqu’un, mais pour ouvrir
le cœur. Si notre cri est sincère, il peut être le seuil d’une nouvelle
lumière, d’une nouvelle naissance. Comme pour Jésus : quand tout semblait fini,
en réalité, le salut était sur le point de commencer. Si elle se manifeste avec
la confiance et la liberté des enfants de Dieu, la voix souffrante de notre
humanité, unie à la voix du Christ, peut devenir source d’espérance pour nous
et pour ceux qui nous entourent. » (Léon XIV, Catéchèse « Le cri de Jésus sur
la croix, un souffle d’espérance », Zénit)
*
Je vous laisse avec cette réflexion dominicale sur
l’espérance comme antidote de l’ennui, une réflexion… ennuyeuse probablement,
peut-être même… ennuyante… en vous souhaitant quand même, en ce dimanche, un
petit moment non agité de réflexion et d’espérance… Bon dimanche !
Chanoine
Patrick Willocq

L’ÉCLAIRAGE DE LA FAÇADE DE LA COLLÉGIALE ST-PIERRE FONCTIONNE
À NOUVEAU !
Depuis plusieurs mois, nous avons essayé de faire
rétablir l’éclairage au sol de la façade de la tour de la Collégiale St-Pierre.
L’éclairage bleu a été vite réinstallé par la Ville de Leuze, et cette semaine,
ORES a chargé l’entreprise WANTY de remplacer les spots blancs (par des spots
LED) qui se trouvent au pied de la grand-porte et au pied du « Bon Dieu de pitié ». Merci à eux
!
Intentions de prière pour la semaine

+ Seigneur Jésus, nous tournons notre regard vers cette
Croix dont nous avons été marqués le jour de notre baptême. Donne-nous de nous
en souvenir chaque jour et d’en témoigner tout au long de notre vie…
+ Seigneur Jésus, nous contemplons cette Croix, source de
réconciliation et de paix pour le monde. Donne-nous d’être des artisans de ton
Royaume en appelant tous les dirigeants de la terre et de notre pays à
davantage de compréhension et de respect de tous…
+ Seigneur Jésus, nous vénérons cette Croix, source
d’espérance pour tous ceux qui souffrent. Nous pensons en particulier à tous
les malades de nos paroisses. Donne-leur la force de croire en ton amour…
+ Seigneur Jésus, nous glorifions cette Croix, signe de
ta victoire sur la mort et le péché. Donne à nos défunts la joie de vivre
éternellement auprès de toi…
CONTACTS
M. le Chanoine Patrick Willocq, curéResponsable de l’Unité pastoraleCuré de tous les clochers de l’entité de LeuzeTour Saint-Pierre 157900 Leuze-en-Hainaut069/77.79.030479/62.66.20M. le Diacre Jean-Marie BourgeoisPastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaireGrand-Rue 567900 Leuze-en-Hainaut0470/100 340M. le Diacre Michel HubletMise à jour du site internetAvenue de la Croix-Rouge 447900 Leuze-en-HainautRèglement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,Curé - Adresse : voir plus hautDélégué à la protection des données :Secrétaire général de la Conférence épiscopale belge -Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1, 1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -Mail : ce.belgica@interdio.beAutorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -Secrétariat décanalTour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut069/77.79.03Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen
Nous porterons dans notre prière ...
Baptêmes
- Le samedi 20 septembre, à 14h30, en l’église de Willaupuis, Arthur Capron, enfant de Pauline Brismée et Lionel Capron.
- Le samedi 20 septembre, à 14h30, en l’église de Blicquy, Edgard Luc-Guns, enfant de Stéphanie Guns et Florian Luc.
- Le dimanche 21 septembre, à 10h00, en l’église de Leuze, Emile Bruyère, enfant de Marie Haeffele et Clément Bruyère
- Le samedi 27 septembre, à 14h30, en l’église de Blicquy, Basile Tonniau, enfant de Emilie De Waele et Etienne Tonniau
Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime comme ses propres enfants.
Mariages
- Le samedi 18 octobre, à 14h00, en l’église de Leuze : Lori Van Daele et Thibaud Degand
- Le samedi 15 novembre, à 14h00, en l’église de Pipaix : Virginie Joppart et Maxime Degouys
Que tous nos vœux de bonheur et notre prière accompagnent les nouveaux époux !
Funérailles
- Mme Chantal Desterbecq demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Leuze le vendredi 05 septembre 2025.
- M. Alfred Opsomer demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Leuze le mercredi 10 septembre 2025.
- Mme Marie-Line Michez demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Leuze le lundi 15 septembre 2025 à 9h30.
- Mme Renée Martens demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Leuze le mardi 16 septembre 2025 à 11h00
Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.
Dans notre Unité pastorale…




Le missel des dimanches 2026 est disponible
Comme chaque année, vous pouvez vous procurer le missel des dimanches publié aux éditions du Cerf. Le prix de vente public est de 9,90 €. Si vous le souhaitez, vous pouvez me les commander (au plus tard pour le 30 septembre), je ferai une commande groupée. Vous pouvez aussi commander directement à siloe@evechetournai.be ou téléphoner au +32 69 64 62 51.
Abbé Patrick Willocq
Pour les familles… les jeunes... les enfants …







Dans notre Diocèse de Tournai…







Les rencontres Samarie sont des moments de formation spécialement conçus pour les personnes en charge d’une mission au niveau de la Pastorale de la santé (Visiteurs en maison de repos, à domicile, membres d’aumônerie hospitalière, en milieu psychiatrique, auprès des personnes
porteuses d’un handicap…). Ces moments sont destinés aux nouveaux arrivants dans le service mais également à ceux qui sont en poste depuis longtemps et qui sentent un besoin de se renouveler, de poser un regard neuf sur leur investissement. On y est actif, on remet en questionnement positif sa mission, on apprend à écouter, à s’écouter et à tendre l’oreille vers le Spirituel afin qu’il motive nos actions au cœur de la faiblesse de l’autre.
On peut y participer une journée ou plusieurs si on aime ça. Une rencontre Samarie aura lieu le 25 octobre à l’abbaye de Soleilmont à Fleurus, de 9h30 à 16h30. Bloquez votre agenda si elle vous intéresse.
Attention les places sont comptées.
Bienvenue à tous dans cette nouvelle façon de se mettre sur la longueur d’onde que propose le Christ. Un peu comme…La Samaritaine.
Renseignements et inscriptions :
(Inscription obligatoire avant le 18/10/2025 – le nombre de place est limité)
aurelie.boeckmans@hotmail.com – 0479/52 64 76

Dans l’Église de Belgique…




