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Paroisse de Leuze-en-Hainaut

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UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Une Parole … Une Prière

TEMPS DE L’AVENT 1ÈRE SEMAINE
…VEILLEZ DONC

« En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme il en fut aux jours de Noé, ainsi en sera-t-il lors de la venue du Fils de l’homme. En ces jours-là, avant le déluge, on mangeait et on buvait, on prenait femme et on prenait mari, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; les gens ne se sont doutés de rien, jusqu’à ce que survienne le déluge qui les a tous engloutis : telle sera aussi la venue du Fils de l’homme. Alors deux hommes seront aux champs : l’un sera pris, l’autre laissé. Deux femmes seront au moulin en train de moudre : l’une sera prise, l’autre laissée.  
Veillez donc, car vous ne savez pas quel jour votre Seigneur vient. Comprenez-le bien : si le maître de maison avait su à quelle heure de la nuit le voleur viendrait, il aurait veillé et n’aurait pas laissé percer le mur de sa maison. Tenez-vous donc prêts, vous aussi : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra. »
Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu 24, 37-44
Illustration : : Simone Boisecq (1922-2012), Le Veilleur,  résine patine bronze, 246 x 100 x 95 cm, 1984-1985)

La sculpture « Le Veilleur » dressée devant le mur est inspirée à Simone Boisecq par sa rencontre avec le philosophe Maurice Blanchot. Simone Boisecq naît à Alger en 1922 où elle suit des études de dessin et de sculpture. Journaliste à l’AFP, elle rencontre Picasso, Brancusi et Zadkine. Elle se lance dans la sculpture et rejoint alors les tenants de la Nouvelle Ecole de Paris. Ses créations s’inspirent du monde végétal et de figures mythologiques.
Boisecq a largement contribué à ouvrir une voie nouvelle à la sculpture française.
Neuf de ses œuvres sont exposées au musée Unterlinden.

: The Explorers
Méditation du Pape Léon XIV

JUBILE DES CHŒURS ET DES CHORALES
MESSE
HOMÉLIE DU PAPE LÉON XIV
Solennité du Christ-Roi de l’Univers
Basilique Saint-Pierre – Dimanche 23 novembre 2025

Chères sœurs et chers frères, dans le psaume responsorial, nous avons chanté : “Nous irons avec joie à la maison du Seigneur” (cf. Ps 121). La liturgie d’aujourd’hui nous invite donc à marcher ensemble dans la louange et la joie à la rencontre du Seigneur Jésus-Christ, Roi de l’Univers, Souverain doux et humble, Celui qui est le commencement et la fin de toutes choses. Son pouvoir c’est l’amour, son trône c’est la Croix et, par la Croix, son Royaume rayonne sur le monde. « De la Croix, il règne » (cf. Hymne Vexilla Regis) comme Prince de la paix et Roi de justice qui, dans sa Passion, révèle au monde l’immense miséricorde du cœur de Dieu. Cet amour est aussi l’inspiration et la raison de votre chant.
Chers choristes et musiciens, vous célébrez aujourd’hui votre jubilé et vous remerciez le Seigneur de vous avoir accordé le don et la grâce de le servir en offrant vos voix et vos talents pour sa gloire et pour l’édification spirituelle de vos frères (cf. Conc. œcum. Vat. II, Const. Sacrosanctum Concilium, n. 120). Votre tâche est de les impliquer dans la louange de Dieu et de les rendre davantage participants à l’action liturgique à travers le chant. Aujourd’hui, vous exprimez pleinement votre» “iubilum”, votre exultation qui naît d’un cœur inondé de la joie de la grâce.
Les grandes civilisations nous ont fait don de la musique afin que nous puissions exprimer ce que nous portons au plus profond de notre cœur et que les mots ne peuvent pas toujours exprimer. L’ensemble des sentiments et des émotions qui naissent en nous d’une relation vivante avec la réalité peuvent trouver leur expression dans la musique. Le chant, en particulier, est une expression naturelle et complète de l’être humain : l’esprit, les sentiments, le corps et l’âme s’y unissent pour communiquer les grandes choses de la vie. Comme nous le rappelle saint Augustin : “ Cantare amantis est” (cf. Sermo 336,1), c’est-à-dire “le chant est propre à celui qui aime” : celui qui chante exprime l’amour, mais aussi la souffrance, la tendresse et le désir qui habitent son cœur et, en même temps, il aime celui à qui il adresse son chant (cf. Enarrationes in Psalmos, 72,1).
Pour le Peuple de Dieu, le chant exprime l’invocation et la louange, il est le « cantique nouveau » que le Christ ressuscité élève vers le Père, en y faisant participer tous les baptisés, comme un unique corps animé de la Vie nouvelle de l’Esprit. Dans le Christ, nous devenons des chanteurs de la grâce, des fils de l’Église qui trouvent dans le Ressuscité la cause de leur louange. La musique liturgique devient ainsi un instrument précieux par lequel nous rendons louange à Dieu et exprimons la joie de la Vie nouvelle dans le Christ.
Saint Augustin nous exhorte encore à marcher en chantant, comme des voyageurs fatigués qui trouvent dans le chant un avant-goût de la joie qu’ils éprouveront lorsqu’ils atteindront leur but. « Chante mais marche […] avance dans le bien » (Sermo 256, 3). Faire partie d’un chœur signifie donc avancer ensemble en prenant nos frères par la main, en les aidant à marcher avec nous et en chantant avec eux la louange de Dieu, en les consolant dans leurs souffrances, en les exhortant lorsqu’ils semblent céder à la fatigue, en leur donnant de l’enthousiasme lorsque la fatigue semble l’emporter. Chanter nous rappelle que nous sommes une Église en marche, une authentique réalité synodale, capable de partager avec tous la vocation à la louange et à la joie, dans un pèlerinage d’amour et d’espérance.
Saint Ignace d’Antioche utilise également des mots touchants qui mettent en relation le chant du chœur et l’unité de l’Église : « Que l’on chante Jésus-Christ par votre unité et par votre amour concordant. Et que chacun devienne un chœur, afin que, dans l’harmonie de votre accord, prenant dans l’unité le ton de Dieu, vous chantiez d’une seule voix au Père par Jésus-Christ afin qu’il vous écoute et vous reconnaisse pour vos bonnes œuvres » (Saint Ignace d’Antioche, Ad Ephesios, IV). En effet, les différentes voix d’un chœur s’harmonisent entre elles pour donner naissance à une seule louange, symbole lumineux de l’Église, qui, dans l’amour, unit tout le monde en une seule douce mélodie.
Vous appartenez à des chorales qui exercent leur activité principalement dans le cadre du service liturgique. Votre service est un véritable ministère qui exige préparation, fidélité, compréhension mutuelle et, surtout, une vie spirituelle profonde, de sorte que si vous priez en chantant, vous aidez tout le monde à prier. C’est un ministère qui demande discipline et esprit de service, surtout lorsqu’il s’agit de préparer une liturgie solennelle ou un événement important pour vos communautés. La chorale est une petite famille de personnes différentes, unies par l’amour de la musique et le service rendu. Rappelez-vous cependant que la communauté est votre grande famille : vous n’êtes pas devant elle, mais vous en faites partie, engagés à la rendre plus unie en l’inspirant et en l’impliquant. Comme dans toutes les familles, des tensions ou de petits malentendus peuvent surgir, ce qui est normal lorsque l’on travaille ensemble et que l’on s’efforce d’atteindre un résultat. On peut dire que le chœur est en quelque sorte un symbole de l’Église qui, tendue vers son but, chemine dans l’histoire en louant Dieu. Même si ce chemin est parfois semé d’embûches et d’épreuves, et que les moments joyeux alternent avec d’autres plus difficiles, le chant allège le voyage et apporte réconfort et consolation. Engagez-vous donc à transformer toujours davantage vos chœurs en un prodige d’harmonie et de beauté, soyez toujours davantage une image lumineuse de l’Église qui loue son Seigneur. Étudiez attentivement le Magistère, qui indique dans les documents conciliaires les normes pour accomplir au mieux votre service. Surtout, soyez capables de toujours faire participer le peuple de Dieu, sans céder à la tentation de l’exhibition qui exclut la participation active au chant de toute l’assemblée liturgique. Soyez, en cela, un signe éloquent de la prière de l’Église, qui exprime son amour pour Dieu à travers la beauté de la musique. Veillez à ce que votre vie spirituelle soit toujours à la hauteur du service que vous accomplissez, afin qu’il puisse exprimer authentiquement la grâce de la liturgie.
Je vous confie tous à la protection de sainte Cécile, vierge et martyre qui, ici à Rome, a élevé par sa vie le plus beau chant d’amour, en se donnant tout entière au Christ et en offrant à l’Église son témoignage lumineux de foi et d’amour. Continuons à chanter et faisons nôtre, une fois encore, l’invitation du psaume responsorial de la liturgie d’aujourd’hui : “Allons avec joie à la maison du Seigneur”.
Pape Léon XIV
( :Le Saint-Siège)
Copyright © Dicastère pour la Communication - Libreria Editrice Vaticana

Parole Mgr Guy Harpigny…

C’est avec une grande joie que nous accueillons Mgr Frédéric Rossignol, prêtre de la Congrégation du Saint-Esprit, comme évêque de Tournai. Il est membre d’un institut de vie consacrée engagé dans la mission universelle de l’Église. Mgr Rossignol a exercé le ministère au Vietnam. La Congrégation du Saint-Esprit a été choisie pour animer le Collège missionnaire pontifical international Saint Paul Apôtre à Rome, où près de deux cents prêtres sont formés à la mission universelle de l’Église. Mgr Rossignol en est le directeur spirituel.
Le diocèse accueille un évêque missionnaire soucieux de la vie spirituelle. Il aura un regard « neuf » sur le témoignage de l’Évangile aussi bien dans la province de Hainaut qu’en Belgique tout entière. Comme tout évêque de Tournai, il s’inscrit dans une longue tradition. Tous, nous allons l’informer sur cette tradition. Comme tout évêque, il sera signe et acteur de la communion avec l’Église universelle. Nous serons attentifs à ce qu’il nous proposera dans ce sens.
Nous rendons grâce au Seigneur pour le don qu’il nous fait.
Une des premières paroles de Mgr Rossignol, lorsque je l’ai eu au téléphone, a été : « Priez pour moi ». Même parole que celle du pape François quand il s’est montré au balcon de la basilique Saint-Pierre après son élection. Je suis certain que, tous, nous allons prier pour notre nouvel évêque et que nous prierons souvent avec lui pour le diocèse de Tournai, pour le monde entier.
L’ordination épiscopale aura lieu à la Cathédrale de Tournai le dimanche 14 décembre 2025 à 15h.
Rendons grâce au Seigneur, car il est bon. Éternel est son amour. La Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres !
+ Guy Harpigny,
Administrateur apostolique de Tournai




Parole de Mgr Frédéric Rossignol
         

Blasonnement : de sinople à une flamme accompagnée de six fleurs de lys et de six épis de blé  acaules rangés alternativement en orle, le tout d’or.  
Je suis heureux de vous présenter mon blason, qui a été réalisé avec la collaboration de MM. Castermann (un habitant de notre diocèse) et Nyst. Au centre, on y trouve la flamme de l’Esprit Saint, liée à mes origines comme religieux (membre de la congrégation du Saint-Esprit depuis 24 ans) mais également parce que c’est l’Esprit Saint qui fait toute chose belle et nouvelle dans nos coeurs.
La fleur de Lys représente Marie (la Cathédrale lui est consacrée, mon coeur également) mais aussi la droiture et la noblesse de coeur.
Les épis : c’est la moisson qui est déjà présente dans notre diocèse et qui ne cessera de se multiplier.
La croix en bambou rappelle l’Asie (où j’ai vécu dix-huit ans, principalement au Vietnam) mais aussi le dialogue avec nos frères d’autres cultures et religions.
Le fond vert du blason renvoie à l’Espérance. Mon épiscopat commence en cette fin d’année jubilaire, dont le thème est « Pèlerins d’espérance ». Cette espérance est un don que nous devons cultiver chaque jour de notre vie. Le vert évoque également la nature, lieu de calme, de ressourcement et de contemplation de la beauté voulue par le Créateur.
La devise de mon épiscopat est « Mirabilia Fecit » tirée du psaume 97, qui signifie « Il a fait des merveilles », parce que Dieu a déjà fait tant de belles choses dans ma vie et dans la vie de tant de gens dans le diocèse de Tournai, comme Il en avait faites dans la vie de la Vierge Marie. Si Dieu a fait des merveilles dans nos vies jusqu’à aujourd’hui, Il continuera d’en faire bien d’autres à l’avenir. C’est mon souhait et ma conviction.
Sur le blason, d’aucuns remarqueront l’absence de la mitre et des fanons que l’on retrouve souvent sur les blasons épiscopaux ; j’ai voulu plus de simplicité. Certes, je deviendrai évêque par l’ordination, mais je le deviendrai chaque jour davantage par ce lien fraternel et spirituel qui m’unira aux gens du diocèse.
+Mgr Frédéric Rossignol
 
(: Eglise de Tournai)



S’il y a bien encore une fête qui reste et restera toujours populaire, c’est bien la fête de Noël. Bien des gens aiment se retrouver en famille, pour fêter cet évènement. Qui dit Noël, dit illuminations, retrouvailles, repas et cadeaux. On ne peut que se réjouir quand les gens ont du plaisir à se retrouver et sont attachés aux liens familiaux… La famille est pour nombre de nos contemporains et pour nous-mêmes une valeur sûre. Encore que lorsqu’on creuse un peu, la famille est aussi largement le lieu de tant d’échecs : échecs dans le couple, conjoint parti ou décédé, conflits dans la fratrie ou dans la relation parents enfants, célibataires qui ne l’ont pas choisi, couples désireux d’avoir des enfants, mais où la grossesse ne vient pas, jeunes et moins jeunes mal dans leur peau, … Et tant de familles vivent dans la précarité à tous points de vue. La joie de Noël semble être l’apanage d’un petit nombre de privilégiés.
Alors, quel regard de croyant pouvons-nous poser sur Noël ? Méditons encore et toujours, sur ce que nous fêtons en Eglise : l’étonnante décision de Dieu de venir vivre au milieu d’une humanité marquée par les divisions. Dieu aurait pu être à ce point déçu par l’humanité, par sa propension à faire le mal, au point de ne pas interférer dans l’histoire des hommes et rester à distance. Mais Dieu s’est fait homme. On ne pourrait trouver signe plus éloquent que celui-là ! Dans la Bible, il est dit du messie qu’on l’appellera « L’Emmanuel » ce qui veut dire « Dieu au milieu de nous » (Mt 1,23). Que Dieu décide de vivre au milieu des hommes, dans une société marquée par le bien et le mal, c’est très surprenant comme initiative. Et les conditions de sa venue, de son incarnation, sont tout sauf idéales. Dieu se fait homme dans une famille pauvre, où la suspicion s’installe lorsque Marie est enceinte avant son mariage (Joseph, qui était un homme droit, voulait la répudier en secret (Mt1,19)), où il faut se mettre en route vers
Bethléem au neuvième mois de grossesse, où Hérode excité par la jalousie va faire massacrer des bébés (Mt 2,16) et forcer Marie et Joseph à s’exiler en Egypte (Mt 2,18). Ce qui est étonnant dans l’expérience de la Sainte Famille, c’est que Joseph et Marie accumulent tous les déboires possibles alors qu’ils sont les parents du Fils de Dieu. La promesse de l’Ancien Testament, celle d’un Dieu protecteur qui répand ses bénédictions sur l’homme juste, est mise à mal. Dieu ne protège pas les justes, au contraire, Il ne s’épargne et ne leur épargne pas les souffrances. Mais Joseph et Marie ressortent grandis et plus unis encore après toutes ses épreuves. Ils ont continué d’espérer, malgré les nombreuses incertitudes qui jalonnaient leur chemin. Ils ont découvert qu’ils pouvaient toujours s’aimer, être féconds et aimer Dieu quels qu’étaient les circonstances de leur vie. Leurs épreuves n’ont pas cassé leur couple et leur famille, elles leur ont fait prendre conscience que sans Dieu, rien n’est possible, mais qu’en mettant Dieu au centre de leur vie, tout a un sens, et que des chemins s’ouvrent dans leurs cœurs.
(A suivre)
Votre frère et pasteur,
+ Frédéric Rossignol


Un mot du Curé…

1ER DIMANCHE DE L’AVENT BONNE ANNÉE
DANS LA LUMIÈRE DU SEIGNEUR !



Ben oui… Ce dimanche, 1er dimanche de l’Avent, c’est la NOUVELLE ANNEE des chrétiens !... Et souvent, on fête la « Nouvelle Année » : réveillon, cotillons, pâtisseries, vœux… Allez ! Il est peut-être trop tard pour le restaurant, mais il n’est pas trop tard pour les vœux ! Je vous souhaite donc à chacun, chacune de fermer la porte sur les lourdeurs, les blessures, les embûches de l’année qui se termine, pour ouvrir celle de cette Nouvelle Année et laisser entrer la « lumière du Seigneur », que chante Isaïe : elle viendra illuminer vos jours et vos nuits, même les plus sombres, car, on le sait bien, les souhaits les meilleurs n’ont pas le pouvoir de faire reculer les ténèbres et les soucis de nos vies : cela, c’est nous seuls qui pouvons y travailler… Pour cela, la Liturgie de ce premier dimanche d’Avent nous invite à suivre les sentiers de notre Seigneur… Je vous souhaite donc de le découvrir présent à vos côtés… Le Seigneur vient : tel est le grand cri de l’Avent ! Le Seigneur vient… à votre rencontre… Il n’oublie personne… Il vient vous rejoindre chacun dans ce qui fait votre vie : joies, peines, soucis, espérances… Il vient et vous enseigne ses chemins… Prenez-les ! N’ayez pas peur… Parfois ses chemins sont surprenants, mais jamais il ne nous trahit, il ne nous ment, il ne nous agresse, il ne nous blesse… Suivez sans peur cette petite lumière du Seigneur… et il vous conduira à cette « terre promise » qu’il prépare pour chacun de nous, là où il nous attend pour nous offrir la béatitude selon son cœur dès aujourd’hui… si nous le voulons bien… si nous allons par ses sentiers…
Bon temps de l’Avent et… bon dimanche !
Chanoine Patrick Willocq
Intentions de prière pour la semaine


+ Pour toutes les communautés chrétiennes…   Qu’elles se montrent accueillantes à tous en étant dans le monde le signe de l’amour universel du Seigneur… Nous prions…
+ Pour notre évêque Frédéric… Qu’en se laissant guider par l’Esprit Saint, il puisse conduire le peuple qui lui est confié vers les « merveilles » de son amour et de sa miséricorde… Pour Mgr Guy Harpigny… Qu’au moment d’entrer sur un chemin nouveau de son ministère, il puisse continuer à se laisser guider par la recherche de la
« vérité »…
+ Pour tous les hommes de bonne volonté… Qu’ils trouvent en Toi, Seigneur, force et courage pour tenter de renouer le dialogue entre les peuples et pour tisser des liens de partage et de solidarité… Nous prions…
+ Pour tous ceux qui trouvent le temps trop long, pour ceux qui n’ont plus le temps pour rien… Qu’ils découvrent le sens de leur vie à la lumière de Jésus Christ, maître du temps… Nous prions…
+ Pour nos communautés paroissiales qui s’engagent dans ce nouveau temps liturgique… Qu’elles se fassent accueillantes à la nouveauté et qu’elles trouvent la raison profonde de leur vie dans l’Eucharistie du dimanche, rappel de la venue du Seigneur et signe de son retour… Nous prions…
CONTACTS

M. le Chanoine Patrick Willocq, curé
Responsable de l’Unité pastorale
Curé de tous les clochers de l’entité de Leuze
Tour Saint-Pierre 15
7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
0479/62.66.20

M. le Diacre Jean-Marie Bourgeois
Pastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaire
Grand-Rue 56
7900 Leuze-en-Hainaut
0470/100 340

M. le Diacre Michel Hublet
Mise à jour du site internet
Avenue de la Croix-Rouge 44
7900 Leuze-en-Hainaut

Règlement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018


Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,
Curé - Adresse : voir plus haut
Délégué  à la protection des données :
Secrétaire général de la Conférence  épiscopale belge -
Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1,  1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -
Autorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -

Secrétariat décanal
Tour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00
En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen

Nous porterons dans notre prière ...


Baptêmes

- Le samedi 29 novembre, à 14h30, en l’église de Willaupuis, Maëlle Delpierre, enfant de Fanny Detemmerman et Romain Delpierre

- Le samedi 06 décembre, à 14h30, en l’église de Leuze, Myla Maheu, enfant de Justine Maheu.

- Le dimanche 14 décembre, à 10h00, Louis et Aline Wynant, enfants de Sarah Dejonckheere et Odon Wynant.

Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime comme ses propres enfants.


Funérailles

- Mme Josette Decostre demeurait à Thieulain. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Thieulain le samedi 29 novembre 2025.
- Monsieur René Delavallée demeurait à Blicquy. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Blicquy le samedi 29 novembre 2025.

Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.

Dans notre Unité pastorale…







Pour les familles… les jeunes les enfants











Dans notre Diocèse de Tournai…

PRIÈRE POUR NOTRE NOUVEL ÉVÊQUE
Mgr Frédéric Rossignol sera ordonné le 14 décembre 2025 à 15h à Notre-Dame de Tournai. Accompagnons-le par la prière vers son installation et dans la mission qui lui a été confiée.
Cette prière nous a été proposée par un ami de Mgr Rossignol, le Frère John Paul Esplana (Philippines).



L’Avent approche à grands pas ! Le diocèse de Tournai vous propose cette année de mettre vos pas dans ceux de Lucie, partie à l’aventure sur les routes avec pour toute boussole… une étrange étoile dans le ciel. Suivez ses aventures jusqu’à Noël et découvrez les surprises que nos services vous ont concoctées !
Prologue
 
« Jingle Bells, Jingle Bells, Jingle…. »
« Ah, y’en a marre à la fin ! »
D’un geste rageur, Lucie éteint sa télévision et jette la télécommande sur le canapé à côté d’elle. Elle en a assez ! Voilà des semaines que Noël a pris toute la place : décorations dans les magasins, téléfilms sur chaque chaîne, musique festive à la radio… Même les publicités sont à la sauce « Noël » !
« Et nous ne sommes même pas encore en décembre…. », soupire-telle en regardant le calendrier accroché au mur et où se lit la date du 30 novembre. Elle n’est pas d’humeur festive, cette année, et tout ce tapage autour de Noël lui semble plus commercial qu’autre chose. Dépitée, elle décide d’aller se coucher.
Alors qu’elle vient d’éteindre les lumières du salon, un détail lui saute soudain aux yeux : là où devrait régner le noir complet, une lumière semble s’infiltrer en provenance de la fenêtre. Intriguée, elle s’approche de celle-ci. À l’extérieur, tout est calme et les rares personnes qui rentrent rapidement chez elles ne semblent pas remarquer que la luminosité est plus forte que d’ordinaire.
Au premier coup d’œil, elle réalise que la lumière ne vient ni d’un réverbère, ni de chez un voisin. Levant les yeux au ciel, elle retient une exclamation : là, dans le ciel, à droite de la pleine lune, une étoile semble scintiller plus que les autres.
Est-ce une illusion d’optique ? Il lui semble même qu’elle change aussi de couleur par moments !  Et quelle est cette étrange sensation qui l’envahit à sa vue ? Une chaleur insolite commence à la parcourir, comme si elle avait allumé le feu dans la cheminée. Ses jambes fourmillent, elle ne tient plus en place.
Ni une, ni deux, Lucie quitte la pièce le cœur battant et rejoint l’entrée. Rapidement, elle remet ses chaussures de marche – les seules qui lui tiennent chaud par ce temps automnal – , enfile son manteau et s’empare sans réfléchir de son sac à dos déposé juste à côté. Ce n’est pas normal, il faut qu’elle en sache plus !
(A suivre)
 
(: Diocèse de Tournai)
 












Dans l’Église de Belgique…
Chers amis
L’année sainte s’achève. En « pèlerins d'espérance », nous avons pu nous rendre dans l’une des églises jubilaires ou, pour certains, franchir la porte sainte à Rome. Ce fut aussi l’occasion de vivre plus particulièrement des temps de réconciliation ou de poser des gestes d’espérance concrets, notamment en nous montrant solidaires des plus précarisés.
Pourtant, si nous regardons notre monde durant l’année écoulée, nombreuses sont les raisons de désespérer. Les guerres frappent les peuples toujours aussi durement. La violence suscitée par les cartels de la drogue touche désormais nos villes. Face à la pauvreté ou à l’oppression, combien d’hommes, de femmes et d’enfants prennent toujours le chemin de l’exil, souvent dans des conditions inhumaines.
Tant de vies, surtout les plus fragiles, sont aujourd’hui bafouées.
L’évolution du climat et de notre environnement n’est guère rassurante non plus. La COP 30 vient de se terminer en Amazonie, mais les résultats sont bien maigres. Une grande frilosité demeure pour prendre les mesures énergiques nécessaires afin d’assurer l’avenir de notre maison commune, la Terre.
Chaque année, le temps de l’Avent vient raviver en nous notre foi en l’accomplissement des promesses de Dieu en Jésus-Christ et notre espérance
Mais l’espérance n’est pas morte. Au contraire, cette année nous a fait redécouvrir combien ce don est précieux. Car l’espérance nous est donnée quelles que soient nos joies ou nos tristesses, nos réussites ou nos échecs. L’espérance, c’est d’abord Dieu qui, en Jésus, vient accomplir les promesses annoncées par les prophètes. Il les a accomplies en particulier à la croix, alors que le mal et la mort semblaient prendre définitivement le dessus. Mais c’est de la croix que jaillissent la résurrection, la paix, la réconciliation, le pardon, le salut. Le premier à accueillir ce don de l’espérance pascale n’avait d’ailleurs que peu de mérites à faire valoir. C’était un bandit : le bon larron de l’Évangile. Bien conscient de ses fautes et de son péché, qui l’ont conduit au supplice de la croix, il a met toutefois sa foi et son espérance en Jésus : « Souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton royaume ! ». Et il sera exaucé.
Nous sommes entrés en Avent, temps par excellence de l’espérance. Car, comme Paul l’a exprimé lors du premier dimanche de l’Avent : « le salut est plus près de nous maintenant qu’à l’époque où nous sommes devenus croyants ». Oui, chaque année, le temps de l’Avent vient raviver en nous notre foi en l’accomplissement des promesses de Dieu en Jésus-Christ et notre espérance. Car, malgré les apparences trompeuses, le salut et la paix nous sont donnés par la naissance humble et cachée d’un petit enfant couché dans une mangeoire la nuit de Noël.
Je vous souhaite un temps de l’Avent plein d’espérance
+ Luc Terlinden
Archevêque de Malines-Bruxelles
(: Cathobel)




Cette année, la campagne d’Avent d’Action Vivre Ensemble met en lumière un enjeu crucial : l’accès à l’éducation des enfants et jeunes en situation de précarité en Belgique.
La précarité a un effet direct sur un aspect essentiel de la vie d’un enfant : son parcours scolaire. En Belgique, la situation socioéconomique et l’origine sociale d’un enfant déterminent encore trop souvent son parcours scolaire. Or, l’école, censée garantir les mêmes chances à toutes et tous, reste aujourd’hui un lieu où se reproduisent les inégalités. La campagne met en avant trois constats majeurs : la relégation scolaire perpétue les inégalités sociales ; l’absence d’une réelle gratuité scolaire constitue un frein à l’accès à l’éducation ; le manque d’accès aux loisirs extrascolaires nuit au développement des enfants.
À travers cette campagne, Action Vivre Ensemble souhaite sensibiliser et rappeler le rôle essentiel des associations qui, chaque jour, créent des espaces de soutien et d’émancipation pour les enfants. Cette année encore, 76 associations de lutte contre la pauvreté sont soutenues. Comme tant d’autres, elles s’engagent sans relâche pour que chacune et chacun puisse mener une vie digne et décente.
Quelques actions dans notre diocèse
      4 décembre – Châtelet : soirée d’échanges
      12 décembre Belœil : Inégalités scolaires : comment agir localement ?
      13 décembre – Botte du Hainaut « Et si on donnait la parole aux jeunes? »
En savoir plus sur la campagne
      Page de la campagne d’Avent sur le site d’Action Vivre Ensemble
( Diocèse de Tournai)


Une délégation œcuménique emmenée par le métropolite Athenagoras et l'archevêque Luc Terlinden est arrivée à Istanbul ce mercredi 19 novembre pour une visite de 4 jours. Ce voyage s'inscrit dans le cadre des célébrations organisées en Turquie à l'occasion du 1.700e anniversaire du premier concile oecuménique de Nicée.
Outre Mgr Luc Terlinden, la délégation catholique est composée de Mgrs Lode van Hecke et Lode Aerts, respectivement évêque émérite de Gand et évêque de Bruges, Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, Mgr Jean-Luc Hudsyn, évêque auxiliaire émérite pour le Brabant wallon, et l'évêque d'Anvers, Mgr Johan Bonny. Tommy Scholtes, porte-parole francophone des évêques de Belgique est également du voyage. Le métropolite Athenagoras, de l'archevêché orthodoxe de Belgique, est quant à lui accompagné de son évêque auxiliaire, Mgr Dosithée, du patriarcat de Géorgie, et du père Evangelos Psallas, son secrétaire.
Ce 19 novembre, le groupe s'est rendu sur l'île de Hálki, où se trouve l'ancien séminaire du patriarcat œcuménique de Constantinople. Le patriarcat désire rouvrir l’ancien séminaire dans un cadre universitaire nouveau, en lien avec d'autres universités. D'autres rencontres avec les métropolites des îles des Princes ont permis aux évêques catholiques belges de mieux connaître la vie des communautés orthodoxes dépendant du patriarcat oecuménique.
Le concile de Nicée comme référence oecuménique
Partout, la délégation a bénéficié du même accueil chaleureux ! Au terme de ce premier jour de visite, la délégation catholique s'est dite "particulièrement reconnaissante" de "l'accueil chaleureux" qui lui a été réservé.
Cette visite de quatre jours était prévue depuis plusieurs mois, à l'occasion des 1.700 ans du premier concile oecuménique, qui s'est déroulé à Nicée, dans l'actuelle Turquie. Ce premier concile, qui a réuni des évêques d'Orient et d'Occident, outre son importance historique et théologique, demeure une référence essentielle pour le dialogue oecuménique. Pour son premier voyage en dehors d'Italie en tant que pape, Léon XIV se rendra également en Turquie le 27 novembre prochain, pour célébrer le premier concile de Nicée avec, notamment, le patriarche oecuménique Bartholomée.
Source : Conférence épiscopale de Belgique
Christophe Herinckx
(: Cathobel)

 
 
 
Lecture du soir… ou du matin…

RETOUR SUR SOCIETAS LITURGICA 2025
L’Art qui conduit à la Transcendance


* ARTS VISUELS :
+ 1ER DIMANCHE DE L’AVENT – VEILLEZ ET PRIEZ…
+ D’OÙ VIENT LA TRADITION DU « CALENDRIER D’AVENT » ?


* LIVRES :
RÉMI BRAGUE, LA PROFONDEUR DU PRÉSENT.


* MUSIQUE :
+ JEAN-SÉBASTIEN BACH : LA CANTATE BWV 60
+ MUSIQUES POUR ACCOMPAGNER LE TEMPS DE L’AVENT


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