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Paroisse de Leuze-en-Hainaut

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UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Une Parole … Une Prière

TEMPS ORDINAIRE – 24ÈME DIMANCHE LA CROIX GLORIEUSE
« NON PAS POUR JUGER LE MONDE,  MAIS POUR QUE, PAR LUI, LE MONDE SOIT SAUVÉ... »


« En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « Nul n’est monté au ciel sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme. De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l’homme soit élevé, afin qu’en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. »
Évangile de Jésus Christ selon Jean 3, 13-17
Illustration : La Croix Glorieuse, Livre d’Evangiles,  miniature du 11ème siècle, Abbaye d’Echternach, Luxembourg
Un rectangle bordé de pourpre et d’or. Sur le fond bleu se détache une croix cernée de vert, couleur de vie et rayonnant de l’or de la lumière incréée. Un grand personnage, vêtu d’une longue tunique pourpre, se tient sur cette croix et étend largement ses bras. C’est le Christ Jésus. Il tourne la tête vers sa droite.
Sous chacun des bras de la croix, deux autres rectangles: fond d’or et pourtour rouge sur lequel se détachent une figure féminine à gauche et masculine à droite: Marie, mère de Jésus et Jean l’évangéliste.
Au-dessus de la croix, de chaque côté, dans des cercles brodés de vert, sont figurés les bustes de deux personnages: le Soleil et la Lune.
Une composition sobre, sans fioritures. Les regards des quatre personnages convergent sur Jésus et nous obligent à regarder vers lui.
Il est jeune et vivant, les yeux grands ouverts, le visage paisible.  
Marie, qui essuyait ses larmes avec son voile, a maintenant les yeux grands ouverts, sa main se lève en signe d’étonnement. Et Jean retient son souffle: « Ce que nous avons vu de nos yeux, nous vous l’annonçons. » Sa main gauche fait déjà un signe d’appel vers nous.
Le Soleil et la Lune regardent eux aussi vers le Christ. Toute la création, tout le cosmos sont concernés par la croix glorieuse. De façon mystérieuse, elle est la clé de voûte de l’univers.
Cependant, rien de triomphant dans cette miniature. De Jésus émane humilité et douceur. Il rétablit le lien entre ciel et terre. Il est toute douceur et miséricorde, il est l’homme des Béatitudes.
Ses pieds reposent sur un calice. « II a plu à Dieu de faire habiter (en son Fils) toute la plénitude et de tout réconcilier par lui et pour lui, sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang de sa croix. » (1,20; cf. 2,13-15) La coupe du Salut scelle l’Alliance éternelle. Tout est grâce. ( : LaXavière)


Méditation du Pape Léon XIV

ANGELUS
Rome - Dimanche 07 septembre 2025

Chers frères et sœurs,
avant de conclure cette célébration tant attendue, je tiens à saluer et à remercier vous tous qui êtes venus si nombreux pour fêter les deux nouveaux saints ! Je salue avec affection les évêques et les prêtres. Je salue avec déférence les délégations officielles et les Autorités distinguées.
Dans ce climat, il est bon de rappeler qu'hier, l'Église s'est également enrichie de deux nouveaux bienheureux. À Tallinn, capitale de l'Estonie, a été béatifié l'archevêque jésuite Edoardo Profittlich, tué en 1942 pendant la persécution du régime soviétique contre l'Église. Et à Verszprém, en Hongrie, a été béatifiée Maria Maddalena Bódi, une jeune laïque, tuée en 1945 pour avoir résisté à des soldats qui voulaient lui faire violence. Louons le Seigneur pour ces deux martyrs, témoins courageux de la beauté de l'Évangile !
Nous confions à l'intercession des saints et de la Vierge Marie notre prière incessante pour la paix, en particulier en Terre Sainte et en Ukraine, ainsi que dans toutes les autres terres ensanglantées par la guerre. Je répète aux gouvernants : écoutez la voix de votre conscience ! Les victoires apparentes obtenues par les armes, semant la mort et la destruction, sont en réalité des défaites et n'apportent jamais la paix et la sécurité ! Dieu ne veut pas la guerre, il veut la paix, et il soutient ceux qui s'engagent à sortir de la spirale de la haine et à suivre la voie du dialogue.Pape Léon XIV
( :Le Saint-Siège)

Parole de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…

Anniversaire du Concile
œcuménique de Nicée
(325) (VIIb)


Quel est l’apport de Basile à la profession de foi en la Trinité ? Basile est un commentateur de l’Écriture, qui trouve dans la Bible la source de sa théologie. Comme chaque évêque de son temps, Basile commente les premiers chapitres de la Genèse, chaque Semaine Sainte, pour préparer les catéchumènes au baptême. Il a repris ses homélies sur le sujet dans son Commentaire de l’Hexaémeron, sur les six jours de la création, en 378. Il rappelle que Dieu a créé à partir de rien, le premier élément créé étant la lumière.
Il s’inscrit dans le mouvement d’élaboration du symbole de foi, où le premier article est l’affirmation du Dieu créateur. Reprenant la manière de penser d’Origène, il réfléchit sur la création « en son Principe ».
Pour ce qui est de la création de l’homme, il montre qu’il y a une différence avec les autres êtres créés ; l’homme est le résultat d’une délibération impliquée par le pluriel : « Créons l’homme » (Genèse 1,26). Il intègre ici l’actualisation de la vie baptismale, la vie en Christ, en vue de la divinisation, sans oublier le combat spirituel.
Basile n’a pas commenté tout le Psautier, mais seulement les Psaumes 1, 7, 14, 28, 29, 32, 33, 44, 48, 59, 61 et 114. Il est proche d’Origène. En fait, dans le Commentaire des Psaumes, il parle essentiellement de l’Église et de son mystère.
Basile a beaucoup rédigé sur le baptême.  
Dans un ouvrage rédigé vers 366, il parle de la préparation au baptême, en lien avec la vie monastique. Basile a demandé le baptême à l’âge adulte. Il en souligne la radicalité. Il en manifeste l’analogie avec la théologie du martyre. Il souligne le lien entre le baptême, la chrismation et l’eucharistie. Il explique la dimension trinitaire du baptême, en précisant ce que signifie le fait d’être baptisé au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Il commence par le Saint-Esprit qui réalise la transformation, qui donne de revêtir effectivement le Christ.
Il dit : « Le baptême, c’est, en effet, l’événement par lequel on entre dans le mystère trinitaire et par lequel la Trinité entre dans l’histoire de la personne et de la communauté ». Evénement important : c’est à propos du baptême que Basile introduit une nouvelle doxologie pour mettre en évidence la nature de la Trinité en elle-même, l’égalité des trois dans la Trinité, et l’égalité d’honneur qui leur revient : « Puisqu’un baptême nous a été donné par le Sauveur au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, nous présentons une confession de foi conforme à ce baptême et une doxologie conforme à cette foi, en glorifiant le Saint-Esprit avec le Père et le Fils, parce que nous sommes persuadés qu’il n’est pas étranger à la nature divine. En effet, ce qui est éloigné comme étranger selon la nature ne saurait participer aux mêmes honneurs ».
(A suivre)
+ Guy Harpigny,
Evêque de Tournai
Source : Église de Tournai, septembre 2025)
 
Un mot du Curé…


Préférer l’espérance à l’agitation comme antidote de l’ennui


Il est des livres que l’on ouvre régulièrement sans se lasser. Le Journal d’un curé de campagne (1936, Grand Prix du Roman de l’Académie Française 1936) de Georges Bernanos (1888-1948) fait partie de ces ouvrages qui me reviennent devant les yeux de façon presque rituelle depuis plus de quarante ans sans doute, sans oublier la si belle adaptation cinématographique réalisée en 1951
par Robert Bresson (1901-1999). Ces derniers jours, j’ai repris ma vieille édition Plon Pocket (1974 !) qui reste sans faiblir sur ma table de chevet, et je m’y suis replongé…
Le Journal d’un curé de campagne raconte l'existence discrète d'un jeune prêtre catholique dans la petite paroisse d'Ambricourt (Pas-de-Calais, Hauts-de-France). Meurtri par ses douleurs à l'estomac et son désespoir devant l’indifférence et le manque de foi
de la population du village, le curé se sent faible, inférieur, mais croit que la grâce de Dieu passe quand même par son sacerdoce.  
Bernanos livre dans ce roman sa « vision » du Christianisme de son temps dans nos pays. La réalité était-elle aussi difficile, aussi « noire » que la décrit l’Auteur ? Je ne sais pas, je n’y étais pas et les livres d’Histoire sont parfois trompeurs, mais, même si cette vision est sans doute marquée par son époque, elle reste par certains aspects, je crois, pertinente devant la réalité contemporaine.
De l’ennui
A chaque fois que je reviens vers cette œuvre, aussi loin que je  me souvienne, je suis impressionné par ses premières lignes : « Ma paroisse est une paroisse comme les autres. Toutes les paroisses se ressemblent. Les paroisses d’aujourd’hui, naturellement (…) Ma paroisse est dévorée par l’ennui, voilà  le mot. Comme tant d’autres paroisses ! L’ennui les dévore sous nos yeux et nous n’y pouvons rien. Quelque jour peut-être la contagion nous gagnera, nous découvrirons en nous ce cancer. On peut vivre très longtemps avec ça (…) Je me disais donc que le monde est dévoré par l’ennui. Naturellement, il faut un peu réfléchir pour se rendre compte, ça ne se saisit pas tout de suite. C’est une espèce de poussière. Vous allez et venez sans la voir, vous la respirez, vous la mangez, vous la buvez, et elle est si fine, si ténue qu’elle ne craque même pas sous la dent. Mais que vous vous arrêtiez une seconde, la voilà qui recouvre votre visage, vos mains. Vous devez vous agiter sans cesse pour secouer cette pluie de cendres. Alors le monde s’agite beaucoup… » (G. Bernanos, Journal d’un curé de campagne, Plon, Pocket, p. 29-31, extraits).  
Oui ! On peut déclarer ce texte daté, ou que le monde a bien changé depuis 1936, et l’Eglise aussi… Sans aucun doute, mais l’ennui a-t-il vraiment disparu de notre monde, de nos paroisses ?… Sincèrement, je ne le pense pas.
La Psychologie définit l’ennui avec ces mots : un sentiment de vide, de lassitude morale, de manque d'intérêt… N’est-ce pas ce que l’on constate ? Quelques exemples… Les célébrations dans nos églises, aussi importantes et aussi belles soient-elles, suscitent-elles encore un intérêt ? La réalité constatée parle d’elle-même : dans la plupart des communautés, le samedi, lors de la tournante des messes dominicales, à peine quatre ou cinq personnes du village, même les personnes qui se disent engagées dans les paroisses ne se déplacent pas… Quand une activité d’un autre genre (catéchèse pour adultes, conférences de carême…) est organisée, elle rassemble quelques personnes que l’on peut souvent compter avec les doigts des deux mains ; nous l’avons bien constaté lors des nombreuses activités proposées lors du dernier carême. Enfin, et tout récemment, un sacristain me faisait constater qu’il faisait sale dans l’église, ce qui était vrai : poussière sur le mobilier, toiles d’araignées dans tous les coins et à toutes les fenêtres… Il en a parlé à un fabricien ; réponse : « On fait le nettoyage quand il y a un concert, y’en a bien assez ! » Voilà  où on en est dans nos églises : on nettoie pour les concerts, mais la Messe du dimanche ou le baptême des enfants peuvent bien se vivre dans les toiles d’araignées, ce n’est pas grave ! Pénible… pénible… Si le curé d’Ambricourt dans le Journal de Bernanos avait encore le zèle et l’enthousiasme de sa jeunesse, il n’en est peut-être plus de même aujourd’hui…
De l’agitation
Parfois, nous expliquait Bernanos dans l’extrait cité ci-dessus, de l’ennui naît l’agitation, souvent vide, toujours inefficace : il faut « faire » envers et contre tout. Et chacun s’agite, et notre monde s’agite jusqu’à ébullition…
Il faut reconnaître que, dans notre monde contemporain, « faire » permet d’ « être » et que seul celui qui « fait » est reconnu. A la rigueur, peu importe ce qui est fait, pourvu que l’on fasse !... On
« fait », on s’agite… « Marthe, Marthe, tu t’agites pour bien des choses… », disait Jésus dans l’Évangile selon saint Luc (10, 41-42). Mais l’agitation et l’ébullition peuvent se faire dangereuses !  Petit rappel de vos cours de sciences… Lors de ce processus physico-chimique de l’ébullition, en absorbant l’énergie thermique apportée, les molécules gagnent de l’énergie sous forme d’énergie cinétique : elles « s’agitent » ! Petit à petit, grâce à cette agitation cinétique, les forces intermoléculaires qui les tenaient ensemble se fragilisent et se brisent, et les molécules se séparent : le liquide passe à l’état gazeux…  
Cette petite parabole extraite de nos vieux cours de sciences ne décrit-elle pas ce qui se passe aujourd’hui partout sur notre planète, et chez nous, et en nous ? L’agitation frénétique sépare ce qui était uni ; la folie du « faire » brise les liens de la communion, ces liens si fondamentaux pour nous, Chrétiens, que seule, l’Eucharistie peut tisser – « On vous dit : « Le corps du Christ », et vous répondez « Amen ». Soyez donc membres du corps du Christ, pour que cet Amen soit véridique. » (St Augustin, Sermon 272), et chacun s’échappe dans un état « gazeux » de solitude. « Mais que vous servirait de fabriquer la vie même, si vous avez perdu le sens de la vie ? », écrivait encore Bernanos (Journal, p. 47). Et notre monde, en grande part a perdu le sens de la vie…
De la nécessaire réflexion
Que faire pour retrouver ce sens aujourd’hui tellement perdu ? L’écrivain français peut, une fois encore, être notre guide : « Il y a un mot qui commence à courir les presbytères, un de ces affreux mots dits « de poilu » qui, je ne sais ni comment ni pourquoi, ont paru drôles à nos aînés, mais que les garçons de mon âge trouvent si laids, si tristes (…) On répète donc volontiers qu’il ne « faut pas chercher à comprendre ». Mon Dieu ! mais nous sommes cependant là pour cela !... » (Journal, p. 31).  
Chercher à comprendre, cela signifie être capable d’arrêter l’agitation, de s’asseoir et de prendre le temps de la réflexion. Voilà sans doute ce qui manque le plus à notre siècle : le temps de la réflexion, ce « faire » qu’on ne voit pas, qu’on ne peut afficher aux premières pages des journaux ou sur nos écrans d’ordinateurs toujours agités d’agités et d’agitateurs, car la réflexion suspend l’agitation et permet de
découvrir un autre « faire » : celui de rêver, même mieux : d’espérer.  
De l’espérance
Oui ! La réflexion peut tourner vers l'espérance : elle invite à penser un avenir meilleur en dépit des erreurs et incertitudes du présent : « La foi voit ce qui est. La charité aime ce qui est. L’espérance voit ce qui n’est pas encore et qui sera. Elle aime ce qui n’est pas encore et qui sera. Sur le chemin montant, sablonneux, malaisé. Sur la route montante. Traînée, pendue aux bras de grandes sœurs, qui la tiennent par la main, la petite espérance s’avance. Et au milieu de ses deux grandes sœ urs elle a l’air de se laisser traîner. Comme une enfant qui n’aurait pas la force de marcher. Et qu’on traînerait sur cette route malgré elle. Et en réalité c’est elle qui fait marcher les deux autres. Et qui les traîne, et qui fait marcher le monde. Et qui le traîne. Car on ne travaille jamais que pour les enfants. Et les deux grandes ne marchent que pour la petite » (Charles Péguy, Le Porche du Mystère de la deuxième vertu).
L’espérance ne serait-elle donc pas l’antitode de l’ennui, bien plus que l’agitation ?... « Espérer contre toute espérance », écrivait déjà St Paul dans sa Lettre aux Romains (4, 18)… Cette espérance, le Pape Léon la commente régulièrement ; ce 10 septembre, il disait : « Chers frères et sœurs, apprenons aussi cela du Seigneur Jésus : apprenons le cri de l’espérance lorsque vient l’heure de l’épreuve extrême. Non pas pour blesser, mais pour nous confier. Non pas pour hurler contre quelqu’un, mais pour ouvrir le cœur. Si notre cri est sincère, il peut être le seuil d’une nouvelle lumière, d’une nouvelle naissance. Comme pour Jésus : quand tout semblait fini, en réalité, le salut était sur le point de commencer. Si elle se manifeste avec la confiance et la liberté des enfants de Dieu, la voix souffrante de notre humanité, unie à la voix du Christ, peut devenir source d’espérance pour nous et pour ceux qui nous entourent. » (Léon XIV, Catéchèse « Le cri de Jésus sur la croix, un souffle d’espérance », Zénit)
*
Je vous laisse avec cette réflexion dominicale sur l’espérance comme antidote de l’ennui, une réflexion… ennuyeuse probablement, peut-être même… ennuyante… en vous souhaitant quand même, en ce dimanche, un petit moment non agité de réflexion et d’espérance… Bon dimanche !
Chanoine Patrick Willocq
L’ÉCLAIRAGE DE LA FAÇADE DE LA COLLÉGIALE ST-PIERRE FONCTIONNE À NOUVEAU !
Depuis plusieurs mois, nous avons essayé de faire rétablir l’éclairage au sol de la façade de la tour de la Collégiale St-Pierre. L’éclairage bleu a été vite réinstallé par la Ville de Leuze, et cette semaine, ORES a chargé l’entreprise WANTY de remplacer les spots blancs (par des spots LED) qui se trouvent au pied de la grand-porte et au pied du « Bon Dieu de pitié ». Merci à eux !
 

 
Intentions de prière pour la semaine

+ Seigneur Jésus, nous tournons notre regard vers cette Croix dont nous avons été marqués le jour de notre baptême. Donne-nous de nous en souvenir chaque jour et d’en témoigner tout au long de notre vie…
+ Seigneur Jésus, nous contemplons cette Croix, source de réconciliation et de paix pour le monde. Donne-nous d’être des artisans de ton Royaume en appelant tous les dirigeants de la terre et de notre pays à davantage de compréhension et de respect de tous…
+ Seigneur Jésus, nous vénérons cette Croix, source d’espérance pour tous ceux qui souffrent. Nous pensons en particulier à tous les malades de nos paroisses. Donne-leur la force de croire en ton amour…
+ Seigneur Jésus, nous glorifions cette Croix, signe de ta victoire sur la mort et le péché. Donne à nos défunts la joie de vivre éternellement auprès de toi…
 
CONTACTS

M. le Chanoine Patrick Willocq, curé
Responsable de l’Unité pastorale
Curé de tous les clochers de l’entité de Leuze
Tour Saint-Pierre 15
7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
0479/62.66.20

M. le Diacre Jean-Marie Bourgeois
Pastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaire
Grand-Rue 56
7900 Leuze-en-Hainaut
0470/100 340

M. le Diacre Michel Hublet
Mise à jour du site internet
Avenue de la Croix-Rouge 44
7900 Leuze-en-Hainaut

Règlement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018


Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,
Curé - Adresse : voir plus haut
Délégué  à la protection des données :
Secrétaire général de la Conférence  épiscopale belge -
Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1,  1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -
Autorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -

Secrétariat décanal
Tour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00
En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen

Nous porterons dans notre prière ...


Baptêmes

- Le samedi 20 septembre, à 14h30, en l’église de Willaupuis, Arthur Capron, enfant de Pauline Brismée et Lionel Capron.

- Le samedi 20 septembre, à 14h30, en l’église de Blicquy, Edgard Luc-Guns, enfant de Stéphanie Guns et Florian Luc.

 
- Le dimanche 21 septembre, à 10h00, en l’église de Leuze, Emile Bruyère, enfant de Marie Haeffele et Clément Bruyère

 
- Le samedi 27 septembre, à 14h30, en l’église de Blicquy, Basile Tonniau, enfant de Emilie De Waele et Etienne Tonniau

 
Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime comme ses propres enfants.

 
Mariages

- Le samedi 18 octobre, à 14h00, en l’église de Leuze : Lori Van Daele et Thibaud Degand

 
- Le samedi 15 novembre, à 14h00, en l’église de Pipaix : Virginie Joppart et Maxime Degouys

 
Que tous nos vœux de bonheur et notre prière accompagnent les nouveaux époux !

Funérailles
 
- Mme Chantal Desterbecq demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Leuze le vendredi 05 septembre 2025.

 
- M. Alfred Opsomer demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Leuze le mercredi 10 septembre 2025.

 
- Mme Marie-Line Michez demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Leuze le lundi 15 septembre 2025 à 9h30.

 
- Mme Renée Martens demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Leuze le mardi 16 septembre 2025 à 11h00
 


Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.

Dans notre Unité pastorale…







Le missel des dimanches 2026 est disponible
 
Comme chaque année, vous pouvez vous procurer le missel des dimanches publié aux éditions du Cerf. Le prix de vente public est de 9,90 €. Si vous le souhaitez, vous pouvez me les commander (au plus  tard pour le 30 septembre), je ferai une commande groupée. Vous pouvez aussi commander directement à siloe@evechetournai.be ou téléphoner au +32 69 64 62 51.
 
Abbé Patrick Willocq


Pour les familles… les jeunes... les enfants













Dans notre Diocèse de Tournai…











 
PASTORALE DE LA SANTÉ : RENCONTRES SAMARIE
 
Les rencontres Samarie sont des moments de formation spécialement conçus pour les personnes en charge d’une mission au niveau de la Pastorale de la santé (Visiteurs en maison de repos, à domicile, membres d’aumônerie hospitalière, en milieu psychiatrique, auprès des personnes
 
porteuses d’un handicap…). Ces moments sont destinés aux nouveaux arrivants dans le service mais également à ceux qui sont en poste depuis longtemps et qui sentent un besoin de se renouveler, de poser un regard neuf sur leur investissement. On y est actif, on remet en questionnement positif sa mission, on apprend à écouter, à s’écouter et à tendre l’oreille vers le Spirituel afin qu’il motive nos actions au cœur de la faiblesse de l’autre.
 
On peut y participer une journée ou plusieurs si on aime ça. Une rencontre Samarie aura lieu le 25 octobre à l’abbaye de Soleilmont à Fleurus, de 9h30 à 16h30. Bloquez votre agenda si elle vous intéresse.
 
Attention les places sont comptées.
 
Bienvenue à tous dans cette nouvelle façon de se mettre sur la longueur d’onde que propose le Christ. Un peu comme…La Samaritaine.
 
Renseignements et inscriptions :
 
(Inscription obligatoire avant le 18/10/2025 – le nombre de place est limité)
 
aurelie.boeckmans@hotmail.com – 0479/52 64 76
 
( : Diocèse de Tournai)
 








Dans l’Église de Belgique…







Lecture du soir… ou du matin…

* COMMENT SORTIR DE LA SOCIÉTÉ DU RÈGLEMENT DE COMPTE PERPÉTUEL ?

L’Art qui conduit à la Transcendance


* ARTS VISUELS :
LA FACE CACHÉE DES ŒUVRES : EXPOSITION VERSO

* LIVRES
JAVIER CERCAS, LE FOU DE DIEU AU BOUT DU MONDE


* MUSIQUE :  
+ JEAN-SÉBASTIEN BACH : LA CANTATE BWV 48
+ LA BIBLE À L’OPÉRA : III. RICHARD WAGNER, PARSIFAL












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