Paroisse de Leuze-en-Hainaut

UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Une Parole … Une Prière

13ÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
…VA EN PAIX ET SOIS GUÉRIE…  


« En ce temps-là, Jésus regagna en barque l’autre rive, et une grande foule s’assembla autour de lui. Il était au bord de la mer. Arrive un des chefs de synagogue, nommé Jaïre. Voyant Jésus, il tombe à ses pieds et le supplie instamment : « Ma fille, encore si jeune, est à la dernière extrémité. Viens lui imposer les mains pour qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. » Jésus partit avec lui, et la foule qui le suivait était si nombreuse qu’elle l’écrasait.
Or, une femme, qui avait des pertes de sang depuis douze ans… – elle avait beaucoup souffert du traitement de nombreux médecins, et elle avait dépensé tous ses biens sans avoir la moindre amélioration ; au contraire, son état avait plutôt empiré – … cette femme donc, ayant appris ce qu’on disait de Jésus, vint par-derrière dans la foule et toucha son vêtement. Elle se disait en effet : « Si je parviens à toucher seulement son vêtement, je serai sauvée. » À l’instant, l’hémorragie s’arrêta, et elle ressentit dans son corps qu’elle était guérie de son mal. Aussitôt Jésus se rendit compte qu’une force était sortie de lui. Il se retourna dans la foule, et il demandait : « Qui a touché mes vêtements ? » Ses disciples lui répondirent : « Tu vois bien la foule qui t’écrase, et tu demandes : “Qui m’a touché ?” » Mais lui regardait tout autour pour voir celle qui avait fait cela. Alors la femme, saisie de crainte et toute tremblante, sachant ce qui lui était arrivé, vint sejeter à ses pieds et lui dit toute la vérité. Jésus lui dit alors : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix et sois guérie de ton mal. »
Comme il parlait encore, des gens arrivent de la maison de Jaïre, le chef de synagogue, pour dire à celui-ci : « Ta fille vient de mourir. À quoi bon déranger encore le Maître ? » Jésus, surprenant ces mots, dit au chef de synagogue : « Ne crains pas, crois seulement. » Il ne laissa personne l’accompagner, sauf Pierre, Jacques, et Jean, le frère de Jacques. Ils arrivent à la maison du chef de synagogue. Jésus voit l’agitation, et des gens qui pleurent et poussent de grands cris. Il entre et leur dit : « Pourquoi cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte : elle dort. » Mais on se moquait de lui. Alors il met tout le monde dehors, prend avec lui le père et la mère de l’enfant, et ceux qui étaient avec lui ; puis il pénètre là où reposait l’enfant. Il saisit la main de l’enfant, et lui dit : « Talitha koum », ce qui signifie : « Jeune fille, je te le dis, lève-toi! » Aussitôt la jeune fille se leva et se mit à marcher – elle avait en effet douze ans. Ils furent frappés d’une grande stupeur. Et Jésus leur ordonna fermement de ne le faire savoir à personne ; puis il leur dit de la faire manger.

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc 5, 21-43
Illustration page 3 : Gabriel Max, La Résurrection de la fille  de Jaïre, huile sur toile, 1878
– page 4 :  Le Christ guérissant la femme hémorroïsse,  peinture dans les catacombes de Rome


Méditation du Pape François…

Angélus – Place Saint Pierre - Dimanche 27 juin 2021


Chers frères et sœurs, bonjour !
Aujourd’hui, dans l’Evangile (cf. Mc 5, 21-43), Jésus rencontre les deux situations les plus dramatiques, la mort et la maladie. Il en libère deux personnes : une petite fille, qui meurt justement alors que son père est allé demander de l’aide à Jésus; et une femme qui a des pertes de sang depuis de nombreuses années. Jésus se laisse toucher par notre douleur et par notre mort, et il opère deux signes de guérison pour nous dire que ni la douleur ni la mort n’ont le dernier mot. Il nous dit que la mort n’est pas la fin. Il vainc cet ennemi, dont nous ne pouvons nous libérer tout seuls.
Mais, en cette période où la maladie est encore au centre de l’actualité, concentrons-nous sur l’autre signe, la guérison de la femme. Plus que sa santé, ce sont ses liens d’affection qui étaient compromis.
Pourquoi? Elle avait des pertes de sang et donc, selon la mentalité de l’époque, elle était considérée comme impure. C’était une femme marginalisée, elle ne pouvait pas avoir de relations stables, elle ne pouvait pas avoir d’époux, elle ne pouvait pas avoir de famille et elle ne pouvait pas avoir de relations sociales normales car elle était «impure», cette maladie la rendait «impure». Elle vivait seule, le cœur blessé. Quelle est la maladie la plus grande dans la vie? Le cancer? La tuberculose? La pandémie? Non. La plus grande maladie dans la vie c’est le manque d’amour, c’est de ne pas réussir à aimer. Cette pauvre femme était certes malade de pertes de sang, mais, en conséquence, elle était malade du manque d’amour, parce qu’elle ne pouvait pas être socialement avec les autres. Et la guérison qui compte le plus c’est celle des liens d’affection. Mais comment la trouver? Nous pouvons penser aux personnes qui nous sont chères: sont-elles malades ou sont-elles en bonne santé? Elles sont malades? Jésus est capable de les guérir.
L’histoire de cette femme sans nom – appelons-la ainsi, «la femme sans nom» – dans laquelle nous pouvons tous nous voir, est exemplaire. Le texte dit qu’elle avait suivi beaucoup de traitements, « en dépensant tous ses biens sans aucun bénéfice, et même cela empirait» (v. 26). Nous aussi, combien de fois nous jetons-nous dans des remèdes erronés pour assouvir notre manque d’amour? Nous pensons que c’est le succès et l’argent qui nous rendent heureux, mais l’amour ne s’achète pas, il est gratuit. Nous nous réfugions dans le virtuel, mais l’amour est concret. Nous ne nous acceptons pas tels que nous sommes et nous nous cachons derrière le maquillage de l’extériorité, mais l’amour n’est pas une apparence. Nous cherchons des solutions chez des mages, des guérisseurs, pour nous retrouver ensuite sans argent et sans paix, comme cette femme. A la fin, elle choisit Jésus et elle se jette dans la foule pour toucher son manteau, le manteau de Jésus. C’est-à-dire que cette femme cherche le contact direct, le contact physique avec Jésus. A notre époque, en particulier, nous avons compris à quel point le contact est important, les relations. Il en est de même avec Jésus: parfois nous nous contentons d’observer quelque précepte et de répéter des prières – très souvent comme des perroquets – mais le Seigneur attend que nous le rencontrions, que nous lui ouvrions notre cœur, que, comme cette femme, nous touchions son manteau pour guérir. Car en entrant dans l’intimité de Jésus, nous sommes guéris dans nos liens d’affection.
C’est ce que Jésus veut. On lit en effet que, même pressé par la foule, il regarde autour de lui pour chercher qui l’a touché. Les disciples disaient: «Mais regarde, la foule qui te serre… ». Non: «Qui m’a touché?». C’est le regard de Jésus: il y a beaucoup de monde, mais Il part à la recherche d’un visage et d’un cœur plein de foi. Jésus ne regarde pas l’ensemble, comme nous, mais il regarde la personne. Il ne s’arrête pas devant les blessures et les erreurs du passé, mais il va au-delà des péchés et des préjugés. Nous avons tous une histoire, et chacun de nous, dans le secret, connaît bien les mauvaises choses de sa propre histoire. Mais Jésus les regarde pour les guérir. Nous, en revanche, nous aimons regarder les mauvaises choses des autres. Combien de fois, quand nous parlons, nous tombons dans le bavardage, qui est de parler mal des autres, «écorcher» les autres. Mais regardez: quel est cet horizon de vie? Pas celui de Jésus, qui regarde toujours la façon de nous sauver, il regarde l’aujourd’hui, la bonne volonté et non cette histoire mauvaise qui est la nôtre. Jésus va au-delà des péchés. Jésus va au-delà des préjugés. Il ne s’arrête pas aux apparences, il arrive au cœur. Et il guérit précisément celle qui était rejetée de tous, une personne impure. Avec tendresse, il l’appelle «fille» (v. 34) – le style de Jésus était la proximité, la compassion et la tendresse: «Fille…» – et il loue sa foi, en lui redonnant confiance en elle.
Sœur, frère, tu es là, laisse Jésus regarder et guérir ton cœur. Moi aussi je dois faire cela: laisser Jésus regarder mon cœur et le guérir. Et si tu as déjà senti son regard tendre sur toi, imite-le, et fais comme lui. Regarde autour de toi: tu verras que beaucoup de personnes qui vivent à côté de toi se sentent blessées et seules, elles ont besoin de se sentir aimées: franchis le pas. Jésus te demande un regard qui ne s’arrête pas à l’extérieur, mais qui aille au cœur; un regard qui ne juge pas – cessons de juger les autres – Jésus nous demande un regard sans jugement, mais accueillant. Ouvrons notre cœur pour accueillir les autres. Parce que seul l’amour guérit la vie, seul l’amour guérit la vie. Que la Vierge Marie, Consolatrice des affligés, nous aide à apporter une caresse aux blessés du cœur que nous rencontrons sur notre chemin. Et ne pas juger, ne pas juger la réalité personnelle, sociale des autres. Dieu aime tout le monde! Ne pas juger, laissez les autres vivre et essayez de vous approcher avec amour.

: Vatican
 



24. L’espérance trouve dans la Mère de Dieu son plus grand témoin. En elle, nous voyons que l’espérance n’est pas un optimisme vain, mais un don de la grâce dans le réalisme de la vie. Comme toute maman, chaque fois qu’elle regardait son Fils, elle pensait à son avenir, et certainement dans son cœur restaient gravées les paroles que Siméon lui avait adressées dans le temple : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction et toi, ton âme sera traversée d’un glaive » (Lc 2, 34-35). Et au pied de la croix, alors qu’elle voit Jésus innocent souffrir et mourir, bien que traversée d’une immense souffrance elle répète son “oui”, sans perdre ni l’espérance ni la confiance dans le Seigneur. Elle collaborait de cette façon, pour nous, à l’accomplissement de ce que son Fils avait dit, en annonçant « qu’il fallait que le Fils de l’homme souffre beaucoup, qu’il soit rejeté par les anciens, les grands prêtres et les scribes, qu’il soit tué, et que, trois jours après, il ressuscite » (Mc 8, 31). Et dans le tourment de cette douleur offerte par amour, elle devenait notre Mère, la Mère de l’espérance. Ce n’est pas un hasard si la piété populaire continue à invoquer la Sainte Vierge comme Stella Maris, un titre qui exprime l’espérance sûre que, dans les vicissitudes orageuses de la vie, la Mère de Dieu vient à notre aide, nous soutient et nous invite à avoir confiance et à continuer d’espérer.
À ce propos, j’aime à rappeler que le Sanctuaire de Notre-Dame de Guadalupe, à Mexico, s’apprête à célébrer, en 2031, le 500 ème anniversaire de la première apparition de la Vierge. Par l’intermédiaire du jeune Juan Diego, la Mère de Dieu faisait parvenir un message d’espérance révolutionnaire qu’elle répète encore aujourd’hui à tous les pèlerins et aux fidèles : « Ne suis-je pas ici, moi qui suis ta mère ? » [20] Un message similaire est imprimé dans les cœurs de nombre de sanctuaires mariaux à travers le monde, destinations d’innombrables pèlerins qui confient à la Mère de Dieu leurs inquiétudes, leurs peines et leurs espérances. En cette Année Jubilaire, les sanctuaires doivent être des lieux saints pour l’accueil, et des espaces privilégiés pour susciter l’espérance. J’invite les pèlerins qui viendront à Rome à s’arrêter pour prier dans les Sanctuaires mariaux de la ville, pour vénérer la Vierge Marie et invoquer sa protection. Je suis sûr que tous, en particulier ceux qui souffrent et sont affligés, pourront faire l’expérience de la proximité de la plus affectueuse des mamans qui n’abandonne jamais ses enfants, elle qui est pour le saint Peuple de Dieu « un signe d’espérance assurée et de consolation ». [21]
25. En route vers le Jubilé, revenons à l’Écriture Sainte et écoutons ces paroles qui nous sont adressées : « Cela nous encourage fortement, nous qui avons cherché refuge dans l’espérance qui nous était proposée et que nous avons saisie. Cette espérance, nous la tenons comme une ancre sûre et solide pour l’âme ; elle entre au-delà du rideau, dans le Sanctuaire où Jésus est entré pour nous en précurseur » (He 6, 18-20). C’est une invitation forte à ne jamais perdre l’espérance qui nous a été donnée, à nous y agripper en trouvant refuge en Dieu.
L’image de l’ancre évoque bien la stabilité et la sécurité que nous possédons au milieu des eaux agitées de la vie si nous nous en remettons au Seigneur Jésus. Les tempêtes ne pourront jamais l’emporter parce que nous sommes ancrés dans l’espérance de la grâce qui est capable de nous faire vivre dans le Christ en triomphant du péché, de la peur et de la mort. Cette espérance, bien plus grande que les satisfactions quotidiennes et l’amélioration des conditions de vie, nous porte au-delà des épreuves et nous pousse à marcher sans perdre de vue la grandeur du but auquel nous sommes appelés, le Ciel.
Le prochain Jubilé sera donc une Année Sainte caractérisée par l’espérance qui ne passe pas, l’espérance qui est en Dieu. Qu’il nous aide aussi à retrouver la confiance nécessaire dans l’Église comme dans la société, dans les relations interpersonnelles, dans les relations internationales, dans la promotion de la dignité de toute personne et dans le respect de la création. Que notre témoignage de foi soit dans le monde un ferment d’espérance authentique, une annonce des cieux nouveaux et de la terre nouvelle (cf. 2 P 3, 13) où nous habiterons dans la justice et la concorde entre les peuples, tendus vers l’accomplissement de la promesse du Seigneur.
Laissons-nous dès aujourd’hui attirer par l’espérance et faisons en sorte qu’elle devienne contagieuse à travers nous, pour ceux qui la désirent. Puisse notre vie leur dire : « Espère le Seigneur, sois fort et prends courage ; espère le Seigneur » (Ps 27, 14). Puisse la force de l’espérance remplir notre présent, dans l’attente confiante du retour du Seigneur Jésus-Christ, à qui reviennent la louange et la gloire, maintenant et pour les siècles à venir.
Donnée à Rome, à Saint-Jean-de-Latran, le 9 mai, Solennité de l’Ascension de Notre Seigneur Jésus-Christ de l’année 2024, la douzième de mon Pontificat.
FRANÇOIS
Notes
[20] Nican Mopohua, n. 119.
[21] Conc. Oecum. Vat. II, Const. dogm. Lumen gentium, n. 68.


La Vidéo du Pape
Dans l’intention de prière de ce mois-ci, François nous invite à prier pour les personnes qui fuient leur pays : nos frères et sœurs qui sont contraints de fuir leur propre terre. La Vidéo du Pape, réalisée par son Réseau Mondial de Prière, nous aide à réfléchir sur les migrants : « Celui qui accueille un migrant accueille le Christ ». Nous ne pouvons pas, en tant que chrétiens, rester indifférents aux « murs érigés sur la terre, qui séparent les familles, et [aux] murs dans les cœurs ». « Un migrant doit être accompagné, aidé et intégré ». 🙏 Prions ensemble pour que les migrants qui fuient les guerres ou la faim et sont contraints à des voyages pleins de dangers et de violence, puissent trouver l’hospitalité ainsi que de nouvelles opportunités de vie dans les pays d’accueil.



« Prions pour que les migrants, qui fuient les guerres ou la faim et sont contraints à des voyages pleins de dangers et de violence, puissent trouver l’hospitalité ainsi que de nouvelles opportunités de vie dans les pays d’accueil ».



Méditation de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…
 
Qu’est-ce qu’un évêque diocésain ? (FIN)


Et en Belgique ? Combien d’évêques en Belgique ?
La province ecclésiastique de Belgique comprend huit diocèses territoriaux et le diocèse aux Forces Armées.
Diocèse de Malines-Bruxelles Archevêque : Luc Terlinden né en 1968 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles en 1999 - Archevêque en 2023. L’archevêque de Malines-Bruxelles est « métropolitain », à la tête de la province ecclésiastique de Belgique
Évêques auxiliaires : Jean Kockerols né en 1958 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles en 1993 - Évêque auxiliaire en 2011
Koen Vanhoutte né en 1957 - Ordonné prêtre du diocèse de Bruges en 1983 - Évêque auxiliaire en 2018  
Archevêques émérites : André Léonard né en 1940 - Ordonné prêtre du diocèse de Namur en 1964 - Évêque de Namur en 1991 - Archevêque en 2010 - Émérite en 2015  
Jozef De Kesel né en 1947- Ordonné prêtre du diocèse de Gand en 1972 - Évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles en 2002 - Évêque de Bruges en 2010 - Archevêque en 2015 - Cardinal en 2016 - Émérite en 2023
Evêques auxiliaires émérites : Jan De Bie né en 1937 - Ordonné prêtre pour le futur diocèse d’Anvers en 1961 - Évêque auxiliaire en 1987 - Émérite en 2009
Jean-Luc Hudsyn né en 1947 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles en 1972 - Évêque auxiliaire en 2011 - Émérite en 2023
Diocèse d’Anvers
Évêque : Johan Bonny né en 1955 - Ordonné prêtre du diocèse de Bruges en 1980 - Évêque d’Anvers en 2009
Evêque émérite : Paul Van Den Berghe né en 1933 - Ordonné prêtre du diocèse de Gand en 1957 - Évêque d’Anvers en 1980 - Émérite en 2009 Diocèse de Bruges
Évêque : Lode Aerts né en 1959 - Ordonné prêtre du diocèse de Gand en 1984 - Évêque de Bruges en 2016
Diocèse de Gand
Évêque : Lode Van Hecke né en 1950 - Ordonné prêtre comme moine de l’abbaye d’Orval en 1995 - Évêque de Gand en 2020
Évêques émérites : Arthur Luysterman né en 1932 - Ordonné prêtre du diocèse de Gand en 1956 - Évêque coadjuteur de Gand en 1990 - Évêque de Gand en 1991 - Évêque émérite en 2004
Luc Van Looy né en 1941 - Ordonné prêtre salésien en 1970 - Évêque de Gand en 2004 - Emérite en 2020  
Diocèse de Hasselt
Évêque : Patrick Hoogmartens né en 1952 - Ordonné prêtre du diocèse de Hasselt en 1982 - Évêque coadjuteur de Hasselt en 1997 - Évêque de Hasselt en 2004
Diocèse de Liège
Évêque : Jean-Pierre Delville né en 1951 - Ordonné prêtre du diocèse de Liège en 1980 - Évêque de Liège en 2013
Évêque émérite : Albert Houssiau né en 1924 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines en 1949 - Évêque de Liège en 1986 - Émérite en 2001
Diocèse de Namur
Évêque : Pierre Warin  né en 1948 - Ordonné prêtre du diocèse de Liège en 1972 - Ordonné évêque auxiliaire de Namur en 2004 - Évêque de Namur en 2019
Évêques émérites : André Léonard né en 1940 - Ordonné prêtre du diocèse de Namur en 1964 - Évêque de Namur en 1991 - Archevêque de Malines-Bruxelles en 2010 - Émérite en 2015  Rémy Vancottem né en 1943 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles en 1969 - Évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles en 1982 - Évêque de Namur en 2010 - Émérite en 2019
Diocèse de Tournai
Évêque : Guy Harpigny né en 1948 - Ordonné prêtre du diocèse de Tournai en 1973 - Évêque de Tournai en 2003
Diocèse aux Forces Armées
Évêque : Luc Terlinden né en 1968 - Ordonné prêtre du diocèse de Malines-Bruxelles en 1999 - Évêque des Forces Armées en 2023  
Comment faut-il s’adresser à un évêque ?
Lorsque j’ai été appelé par le Nonce apostolique, le 19 mai 2003, qui allait m’annoncer que j’étais nommé évêque de Tournai, je suis entré à la nonciature en étant appelé : Monsieur le Doyen.
En sortant, j’ai été appelé : Monseigneur.
Quelques jours plus tard, j’ai été appelé à la nonciature pour prêter serment. En sortant, j’ai été appelé : Excellence.
En fait, le titre de Monseigneur est donné à un prêtre qui reçoit cette distinction.
À Rome, il y a une multitude de Monseigneurs.
À Rome, un évêque est appelé : Excellence.
En Belgique, on dit habituellement : Monseigneur.
Depuis Vatican II, certains ne veulent plus d’Excellence ou de Monseigneur. Ils disent : « Père Évêque » ! ou « Monsieur l’Évêque » ! Si on est « vieille France », on dit, comme au temps de Napoléon Bonaparte, « Monsieur de Tournay ».
Pas de problème pour moi.
Autre chose : quel est le pluriel de Monseigneur, quand on s’adresse à plusieurs évêques diocésains ? Quand on s’adresse à plusieurs évêques diocésains, on dit : « Nos Seigneurs ». En fait, chaque catholique dépend d’un seul évêque, son évêque diocésain. On n’a pas plusieurs évêques diocésains… Du coup, on ne dit pas « Messeigneurs », mais « Nos Seigneurs ». Simple logique grammaticale.
Signes distinctifs d’un évêque
À quoi reconnaît-on un évêque ? Habituellement, il porte la croix pectorale et un anneau à l’annulaire de la main droite. Ceux qui ne connaissent pas ces « signes » me disent parfois que j’ai une belle chevalière …  
Quel est l’uniforme de l’évêque ? En Belgique, il porte le col romain.
Lors de la célébration liturgique solennelle, il porte la calotte, la mitre et le bâton pastoral (crosse).
Lors des rencontres officielles avec le pape, il porte la calotte, la soutane filetée et la ceinture violette.
Lors des processions, il porte la soutane violette, la mozette violette et la calotte violette. Il est rare qu’en Belgique un évêque porte la barrette sur la tête.
+ Guy Harpigny, Evêque de Tournai
(Source : Église de Tournai, juin 2024)
  

Un mot du Curé…

« VIVE LES VACANCES… »
Dimanche 30 juin… Jusqu’il y a peu, cette date était un pivot dans l’organisation du temps : le début des vacances scolaires. Tout s’organisait autour de cette période. Avec les nouveaux calendriers scolaires, les choses sont officiellement différentes, même si, dans la tête de beaucoup, cette date reste le signe d’un changement de rythme de vie pour quelques jours, quelques semaines : le temps des vacances est là, au moins, tout proche… « Vive les vacances… », chantait-on autrefois…
Avec le mot « Vacances », on pense bien sûr temps de repos après une année où bien souvent le temps passe presque plus vite que les aiguilles ne tournent sur l’horloge. Je vous le souhaite
donc, ce repos des vacances, bienvenu et réparateur…
« Vacances », c’est aussi pouvoir donner son temps à « autre chose »… un temps donc où il nous est possible de nous consacrer à ce qui nous tient à cœur et que le travail effréné de l’année ne nous a pas permis de réaliser… de nous consacrer à ce que ou à ceux que nous avons peut-être négligé(s), faute de temps…  
« Vacances » évoque encore pour certains un temps de découvertes, de voyages, de rencontres...  
« Vacances » pourrait être aussi, pour nous, Chrétiens, un temps donné à ressourcer notre foi… Un pèlerinage, une retraite dans une abbaye, une lecture dans son jardin... « Vacances » pour refaire ses “forces intérieures”...  
Je n’oublie pas tous ceux qui restent : les “gens de la terre”, les agriculteurs, qui, à cause des bouleversements climatiques que nous connaissons, doivent sans doute organiser leur temps autrement, et pour eux, sans doute pas vraiment de vacances... Je pense à tous ceux, toutes celles qui travaillent pour que d’autres profitent de ce temps : les gens de la restauration et de l’hébergement, les responsables de la sécurité et des secours : pompiers, policiers, ambulanciers, médecins, personnel soignant... toujours mis à rude épreuve durant cette période. Eux aussi, souhaitons-leur de pouvoir prendre un peu de vacances…
Qui disait que les vacances, c’était ne rien faire ! Alors, bonnes vacances à tous ! Ici ou là-bas, peu importe… Qu’elles soient temps de repos afin d’y trouver forces neuves et sérénité… Qu’elles vous offrent aussi du temps pour la rencontre… Avec soi… Avec les autres… Avec Dieu…

Chanoine Patrick Willocq

Intentions de prière pour la semaine

+ Pour les malades et ceux qui les soignent… Pour les visiteurs de malades que tu envoies à l’écoute de leurs souffrances… Père, nous te prions…
+ Pour tous ceux qui prennent la
route pour un temps de vacances… Pour tous ceux qui restent, parfois dans une solitude plus grande encore que d’habitude… Père, nous te prions…
+ Pour celles et ceux qui, aujourd’hui, commencent ou recommencent à croire… Pour ceux qui les accompagnent sur le chemin de l’Evangile… Père, nous te prions…
+ Pour tous ceux qui prendront un peu de temps durant ces vacances pour faire une halte spirituelle dans leur vie… Pour tous ceux qui se rassemblent chaque dimanche pour célébrer le Christ ressuscité… Pour tous ceux qui n’ont pu nous rejoindre ou qui ont oublié le rendez-vous dominical… Père, nous te prions…
CONTACTS

M. le Chanoine Patrick Willocq, curé
Responsable de l’Unité pastorale
Curé de tous les clochers de l’entité de Leuze
Tour Saint-Pierre 15
7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
0479/62.66.20

M. le Diacre Jean-Marie Bourgeois
Pastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaire
Grand-Rue 56
7900 Leuze-en-Hainaut
0470/100 340

M. le Diacre Michel Hublet
Mise à jour du site internet
Avenue de la Croix-Rouge 44
7900 Leuze-en-Hainaut

Règlement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018


Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,
Curé - Adresse : voir plus haut
Délégué  à la protection des données :
Secrétaire général de la Conférence  épiscopale belge -
Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1,  1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -
Autorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -

Secrétariat décanal
Tour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00
En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen

Nous porterons dans notre prière ...

Baptêmes
 

 
- Le samedi 29 juin, à 14h30, en l’église de Tourpes, Margaux Streck, enfant de Alexandra Lourne et Gilles Streck  
 
- Le dimanche 30 juin, à 10h00, en l’église de Pipaix, Valentino Caufriez, enfant de E. Potenza et Nicolas Caufriez
 
- Le dimanche 14 juillet, à 10h00, en l’église de Leuze, César Holvoet, enfant de Emeline Lievens et Laurent Holvoet
 
- Le dimanche 14 juillet, à 14h30, en l’église de Leuze, Ivannah Cardon Van Hoof, enfant de Laura Van Hoof et Galvin Cardon
 
- Le samedi 27 juillet, à 14h30, en l’église de Pipaix, Coneer Segord, enfant de Kimberley Carette et Grégord Segord ; Sélène Wesel, enfant de Jennifer Schiettekatte et David Wesel ; Alessia Delcampe, enfant de Romina Delcampe et Constantin Gergely (+)
 
- Le dimanche 28 juillet, à 14h30, en l’église de Blicquy, Merlin Vanoutrive, enfant de Hyléna Vanderasieren et Simon Vanoutrive
 
- Le samedi 10 août, à 14h30, en l’église de Leuze, Yelna Fontaine Sophie, enfant de Elizabeth Fontaine et Louis Sophie
 
- Le jeudi 15 août, à 14h30, en l’église de Blicquy, Gabriel Pipers, enfant de Laura Starquit et Grégoire Pipers
 
- Le samedi 17 août, à 14h30, en l’église de Pipaix, Odin Losfeld, enfant de Amandine Le Boulengé et Arnaud Losfeld
 
- Le dimanche 18 août, à 14h30, en l’église de Leuze, Emilio Gaumois Bievez, enfant de Jessica Gaumois et Kevin Bievez
 
 
Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime !
 
 
Mariages
 
- Le samedi 22 juin, à 14h30, en l’église de Pipaix : Marie Callens et Cédric Hautrive
 
- Le samedi 06 juillet, à 13h30, en l’église de Pipaix : Vanessa Kasier et Ludovic Permanne
 
- Le vendredi 19 juillet, à 14h00, en l’église de Pipaix, Murielle Beloko et Steve Boumas
 
- Le samedi 20 juillet, à 11h30, en l’église de Leuze, Gwenaëlle Durieux et Vincent Osekowski
 
- Le samedi 20 juillet, à 14h00, en l’église de Pipaix, Ameline Bataille et Jason Legeaite
 
- Le samedi 10 août, à 11h00, en l’église de Grandmetz, Melissa Petit et Christophe Simonis
 
- Le samedi 24 août, à 11h00, en l’église de Leuze, Sophie Warquesse et Jérémy Lamiroy
 
- Le samedi 31 août, à 11h00, en l’église de Tourpes, Jeanne Latour et Pierre Dauby
 
- Le samedi 14 septembre, à 13h00, en l’église de Tourpes, Noélie Rosier et Lionel Docq
 
- Le samedi 05 octobre, à 14h00, en l’église de Leuze, Julie Depelchin et Geoffrey Hautmont
 
 
Que tous nos vœux de bonheur et notre prière accompagnent les nouveaux époux !
 
 
Funérailles
 
- M. Pierre Viaene demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Leuze le 26 juin 2024.
 
- M. Freddy Rasseneur demeurait à Tourpes. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Tourpes le 1er juillet 2024 à 11h00.
 
- Mlle Rita Deroissart demeurait à Leuze. La célébration des Funérailles aura lieu en l’église de Leuze le 02 juillet 2024, à 09h00.
 
 
Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.
Dans notre Unité pastorale…





Pour les familles… les jeunes... les enfants






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Pour retrouver les liens indiqués sur « Cap et récap’ » :
 
 
- Rome 2025 :
https://www.riseuptournai.be/rome-2025  
- Echo :
https://diocese-tournai.be/2024/05/16/une-journee-memorable-avec-le-mej-a-tournai/  
- Vidéo du mois :
https://www.youtube.com/watch?v=7RknkWOLRT0  
Pour s’abonner à « Cap et récap’ » :  
https://www.riseuptournai.be/newsletters  
 

Dans notre Diocèse de Tournai…



 
 
 
 
La pastorale de la Santé et celle des Couples et familles s’associent pour vous transmettre le message du Pape et vous inviter à prendre part à une activité originale. Le service des Pèlerinages est aussi de la partie puisqu’il organise le pèlerinage qui sera offert aux gagnants du Concours Photo Intergénérationnel!
La Journée Mondiale des grands-parents et des personnes âgées tombe le 28 juillet, en plein milieu des grandes vacances, lorsque la plupart des forces pastorales sont en repos. C’est pourquoi le concours photo s’étend tout l’été, du 21 juin au 21 septembre 2024. En vous invitant à participer à ce concours, nous souhaitons partager un message fort de sens.
«Quand vous, grands-parents et petits-enfants, personnes âgées et jeunes, êtes ensemble, quand vous vous voyez et vous appelez souvent, quand vous prenez soin les uns des autres, votre amour est un souffle d’air pur qui rafraîchit le monde et la société et nous rend tous plus forts, au-delà des liens de parenté.» (Extrait du discours du Pape François : «La caresse et le sourire», rencontre avec les grands-parents, les personnes âgées et les petits-enfants (27 avril 2024)). Pour le concours, nous vous proposons d’illustrer la phrase ci-dessus par une photo.
Nous souhaitons que la Journée Mondiale des grands-parents et des personnes âgées soit un événement important dans la vie de nos communautés ecclésiales et qu’elle soit porteuse de sens. Le Saint Père nous invite à une plus grande attention aux personnes âgées, il voit cela comme une nécessité pour construire une société plus humaine et fraternelle.

 
Le thème de cette année, «Dans ma vieillesse, ne m’abandonne pas» (cf. Ps 71,9), rappelle la supplication sincère adressée au Seigneur de ne pas être laissé seul dans la vieillesse. Trop souvent, la solitude est une réalité amère pour les personnes âgées. Cependant, le Pape nous rappelle que Dieu n’abandonne jamais ses enfants, même lorsque leurs forces déclinent ou que la vie semble moins productive; en effet, dans la Bible, vieillir est une bénédiction. La solitude et l’exclusion des personnes âgées ne sont pas une fatalité mais le résultat de choix erronés qui ignorent la dignité infinie de chaque personne.
À l’occasion de cette journée mondiale, les communautés ecclésiales pourraient veiller à vivre «une journée sans solitude» entre le 21 juin et le 21 septembre, en rendant visite aux personnes âgées, en les impliquant, en écoutant leurs histoires et leurs témoignages de foi. Dans le kit pastoral téléchargeable en cliquant ici, vous trouverez des indications pastorales reprenant des intentions de prière, une bénédiction finale et des pistes concrètes pour la visite de personnes âgées isolées ainsi que la préparation d’une journée avec les personnes âgées et avec les jeunes.
Dans ce kit pastoral, vous trouverez également:
• Le message du Pape, imprimable en petit livret
• Une prière
• Le logo à utiliser pour vos articles dans les revues paroissiales, réseaux sociaux, etc.
• Des catéchèses sur la vieillesse, un document source pour nourrir la pastorale.
Le concours photo intergénérationnel est ouvert à toutes et tous, il a lieu du 21 juin au 21 septembre 2024. Nous vous invitons à participer et à transmettre autour de vous l’invitation à participer en cliquant ici ou envoyer votre photo à l’adresse familles@evechetournai.be.
Qui dit concours, dit prix! À gagner: une aventure d’une journée pour deux personnes lors d’un pèlerinage à Banneux le 9 avril 2025, organisé par le service des pèlerinages du diocèse de Tournai.
Marie Gralzinski
Pour la pastorale des Couples et familles,
en collaboration avec la pastorale de la Santé
 
 
 


Clarisse 25 ans et son amie Mariane 89 ans.
Leur amitié naît grâce à une visite des jeunes en maison de repos.
 
 
 
 
 


Fiona et sa grand-mère de 100 ans en voyage en camping-car. Leur histoire est racontée ici

 

 
 
Le 18 août 1944, au lieu-dit « Bois du Rognac », à Courcelles, 19 personnes étaient assassinées en représailles de l’assassinat par la Résistance du bourgmestre rexiste de Charleroi. Parmi les victimes se trouvait le curé-doyen de Charleroi, le chanoine Pierre Harmignie. Pour le 80e anniversaire de ce triste événement, des célébrations seront organisées à Courcelles et à Charleroi. Le dimanche 18 août, à Courcelles
• 11h : cérémonie d’hommage aux victimes au Monument avec un arrêt devant la maison des Martyrs (26, rue des Martyrs – Courcelles) où une minute de silence sera observée.
• 11h30 : célébration eucharistique dans le jardin de la Maison des Martyrs. Rencontre amicale. Possibilité de se recueillir dans la cave.
Le dimanche 25 août, à Charleroi
• 10h30 : célébration eucharistique à la Basilique Saint-Christophe. Hommage à Monsieur le Doyen Harmignie et à ses compagnons.
Plus de renseignements : achartier.gilly@gmail.com Invitation cordiale à tous !
 

( : Diocèse de Tournai)

 


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« Un regard statistique sur les membres de la Vie consacrée dans le diocèse de Tournai peut conduire à des interprétations fort négatives. […] Bien souvent, elles constituent des communautés très réduites, entre deux et quatre personnes. Les communautés déménagent pour se regrouper ailleurs, ou résident en maison de repos. » Ce constat, fait par Mgr Harpigny lors de la rencontre annuelle avec les membres de la Vie consacrée dans le diocèse de Tournai en octobre 2023, reflète la réalité de bien des communautés. Cependant, s’attacher uniquement à ce point de vue ne peut conduire qu’à une fatalité fort négative et pessimiste. Comme concluait Mgr Harpigny dans son allocution, « […] il ne faut pas tomber dans le découragement ou les lamentations ». Les communautés évoluent et de nouveaux membres ou de nouvelles missions viennent diriger ce chemin consacré.
C’est la thématique de la nouvelle exposition 2024 du CHASHa, espace muséal à l’abbaye de Bonne-Espérance, portant sur le patrimoine des communautés religieuses en Hainaut. Partant de ce constat mais également du support que le CHASHa a pu apporter à diverses communautés dans le diocèse depuis sa création en 2013, l’enjeu est de mettre en lumière le travail d’inventaire, de tri, de réaffectation mais également de médiation et de transmission qui peut être fait autour de ce patrimoine mobilier.
Ce propos se déploie en trois sections dans l’exposition. Dans la première partie, l’objectif est de définir les communautés, à travers l’exploration du vocabulaire, des missions, des occupations ou des transferts. Différents exemples issus du diocèse abordent la question de la vocation et de la transmission.
Dans un deuxième temps, l’exposition s’attarde sur la définition du patrimoine des communautés, avec des pièces d’orfèvrerie, de sculpture, de peinture, des textiles ou encore du vitrail. Les archives et le cadre juridique de la gestion de ce patrimoine sont également évoqués.  
Enfin, la troisième partie présente la transmission de la mémoire des communautés, l’héritage tant historique, culturel et social que spirituel. Diverses communautés du diocèse ayant été en contact avec le CHASHa pour la gestion de leur patrimoine mobilier sont présentées dans cette exposition, telles que Bonne-Espérance, Mons, Jolimont ou encore Tournai.
Déborah Lo Mauro
( : Diocèse de Tournai)
 
EXPOSITION À DÉCOUVRIR DANS L’ESPACE MUSÉAL DU CHASHA
 
• Du 16 juin au 13 octobre 2024, le dimanche de 14h30 à 18h
• Sur réservation pour les groupes jusqu’au 30 mars 2025
• Visite guidée le dimanche à 15h de l’abbaye et de l’exposition
Abbaye Notre-Dame de Bonne-Espérance Rue Grégoire Jurion 21
7120 Vellereille-les-Brayeux info@chasha.be      +32 64 33 03 46

 

 





Dans l’Église de Belgique…





Le pape François visitera notre pays du 26 au 29 septembre. Sous la direction d'un comité national, les préparations pour l'arrivée du pape sont en en cours. En concertation avec le Vatican, la visite sera placée sous la devise « En route avec Espérance ». Le logo et la devise ont été élaborés en quatre langues : français, néerlandais (Hoopvol onderweg), allemand (Hoffnungsvoll unterwegs) et anglais (Forward with Hope).
La devise « En route avec Espérance » choisie pour la visite du Pape François en Belgique résonne comme un appel au renouveau et à l’optimisme.
L’Église catholique en Belgique est une communauté en mouvement, active, au service du bien commun et engagée dans un dialogue constructif avec toutes les composantes de la société.
La communauté des fidèles chemine « avec Espérance », c’est-à-dire avec confiance et joie. L’Espérance dans la tradition chrétienne est une force qui propulse vers l’avant, qui réconforte et qui inspire. Elle invite chaque personne à envisager un avenir meilleur, où chacun est acteur de changement et de réconciliation.
Le logo illustre ce cheminement avec, en toile de fond, la carte de la Belgique. Le Pape François chemine au milieu des fidèles de tous âges et de toutes origines. Il les encourage à contribuer à un monde plus juste et à participer à la vie et à l’avenir de l’Eglise.
Toutes les informations relatives à la visite du Pape François seront présentées sur le site www.visiteduPape.be. Les réservations pour l'eucharistie du dimanche 29 septembre à Bruxelles, ouverte au grand public pourront également être effectuées via ce site.
Ceux qui souhaitent contribuer financièrement au succès de la visite peuvent également se rendre sur ce site, en utilisant l'outil Soutenez-nous !
A propos du lien unique entre le Pape François et notre pays, Cathobel/Otheo a déjà publié cet article.
SERVICE DE PRESSE ET D'INFORMATION  DE LA CONFÉRENCE DES ÉVÊQUES DE BELGIQUE
(: Cathobel)


Lecture du soir… ou du matin…

ÉLECTIONS EN FRANCE – LE « J’ACCUSE » DE MICHEL COOL

L’Art qui conduit à la Transcendance


* ARTS VISUELS :
LES VITRAUX À NOTRE-DAME DE L’ARCHE D’ALLIANCE
LE NOUVEAU VESTIAIRE LITURGIQUE DE NOTRE-DAME DE PARIS


* LIVRES
MARINA VAN ZUYLEN, L’ART D’ÊTRE DISTRAIT



* MUSIQUE :
HOMMAGE À JODIE DEVOS - LE BICENTENAIRE D’UNE NAISSANCE :  ANTON BRUCKNER












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