Paroisse de Leuze-en-Hainaut

UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Une Parole … Une Prière

27ÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE            
…LE ROYAUME DE DIEU À CEUX QUI LEUR RESSEMBLENT...


« En ce temps-là, des pharisiens abordèrent Jésus et, pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus leur répondit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d’établir un acte de répudiation. » Jésus répliqua : « C’est en raison de la dureté de vos cœurs qu’il a formulé pour vous cette règle. Mais, au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. À cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! »
De retour à la maison, les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur déclara : « Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre devient adultère envers elle. Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre, elle devient adultère. »
Des gens présentaient à Jésus des enfants pour qu’il pose la main sur eux ; mais les disciples les écartèrent vivement. Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant n’y entrera pas. » Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains. »
Évangile de Jésus Christ selon selon Saint Marc 10, 2-16
Illustration :: Maître HB à la tête de Griffon Allemagne Saxe, École de, Le Christ bénissant les enfants, 1525 / 1550 (2e quart du XVIe siècle), huile sur bois, 0,73 m x 0,598 m Le tableau est acheté 1 600 000 F le 26 mars 1944 dans une collection particulière française par Théo Hermsen pour Herbst ; Vienne, Dorotheum ; acquis 200 000 F le 31 mai 1944 par le musée de Linz ; il est enregistré au Central Collecting Point de Munich sous le n° 4887. Le tableau est attribué au musée du Louvre par l'Office des Biens et Intérêts Privés en 1950 ; il est déposé au Mobilier national par arrêté du ministère d'Etat des Affaires culturelles du 27 août 1964 ; il est mis fin au dépôt au Mobilier national par arrêté du ministère d'Etat aux affaires culturelles du 23 mars 1970. Le dépôt est renouvelé et maintenu au Mobilier national par arrêté du ministère de la Culture du 6 mars 1985. Le tableau est actuellement conservé au département des peintures du musée du Louvre. .

Méditation du Pape François…

Angélus – Place St-Pierre, Rome – 03 octobre 2021

 
Chers frères et sœurs, bonjour !
Dans l’Évangile de la liturgie d’aujourd’hui, nous voyons une réaction de Jésus plutôt insolite: il s’indigne. Et le plus surprenant est que son indignation n’est pas causée par les pharisiens qui le mettent à l’épreuve avec des questions sur le caractère licite du divorce, mais par ses disciples qui, pour le protéger de la cohue des gens, réprimandent des enfants qui sont amenés à Jésus. En d’autres termes, le Seigneur ne s’indigne pas contre ceux qui discutent avec Lui mais contre qui, pour soulager sa fatigue, éloigne de Lui les enfants. Pourquoi? C’est une bonne question: pourquoi le Seigneur fait-il cela?    
Nous nous rappelons — c’était l’Évangile d’il y a deux dimanches — que Jésus, accomplissant le geste d’embrasser un enfant, s’était identifié aux petits: il avait enseigné que ce sont précisément les petits, c’est-à-dire ceux qui dépendent des autres, qui ont besoin et ne peuvent rien donner en retour, qui doivent être servis en premier (cf. Mc 9, 35-37). Qui cherche Dieu le trouve là, chez les petits, chez ceux qui sont dans le besoin: ceux qui manquent non seulement de biens, mais de soins et de réconfort, comme les malades, les humiliés, les prisonniers, les immigrés et les détenus. C’est là qu’il se trouve: chez les petits. Voilà pourquoi Jésus s’indigne: tout affront  fait à un petit, à un pauvre, à un enfant, à une personne sans défense, est fait à Lui.     
Aujourd’hui, le Seigneur reprend cet enseignement et le complète. En effet, il ajoute: «Quiconque n’accueille pas le Royaume de Dieu en petit enfant, n’y entrera pas» (Mc 10, 15). Voilà la nouveauté: le disciple ne doit pas seulement servir les petits, mais se reconnaître lui-même petit. Chacun de nous se reconnaît-il petit devant Dieu? Réfléchissons-y, cela nous aidera. Se savoir petit, savoir que l’on a besoin de salut, est indispensable pour accueillir le Seigneur. C’est le premier pas pour s’ouvrir à Lui. Mais souvent, nous l’oublions. Dans la prospérité, dans le bien-être, nous avons l’illusion d’être autosuffisants, de nous suffire à nous-mêmes, de ne pas avoir besoin de Dieu. Frères et sœurs, c’est une illusion, car chacun de nous est un être dans le besoin, un petit. Nous devons chercher notre petitesse et la reconnaître. C’est là que nous trouverons Jésus.  
Dans la vie, se reconnaître petit est un point de départ pour devenir grand. Si nous y réfléchissons, nous grandissons non pas tant en fonction de nos succès, des choses que nous avons, mais surtout en fonction des moments de lutte et de fragilité. C’est là, dans le besoin, que nous mûrissons; c’est là que nous ouvrons le cœur à Dieu, aux autres, au sens de la vie. Nous ouvrons les yeux aux autres, au sens de la vie. Nous ouvrons les yeux aux autres. Nous ouvrons les yeux,  quand nous sommes petits, au véritable sens de la vie. Quand nous nous sentons petits face à un problème, petits face à une croix, à une maladie, quand nous sommes en proie à la fatigue et à la solitude, ne nous décourageons pas. Le masque de la superficialité tombe et notre fragilité radicale refait surface: c’est notre base commune, notre trésor, parce qu’avec Dieu, les fragilités ne sont pas des obstacles, mais des opportunités. Une belle prière serait: «Seigneur, regarde mes fragilités...» et les énumérer devant Lui. Cela est une bonne attitude devant Dieu.           
En effet, c’est précisément dans la fragilité que nous découvrons combien Dieu prend soin de nous. L’Évangile dit aujourd’hui que Jésus est très tendre avec les petits: «Il les embrassa et les bénit en leur imposant les mains» (v. 16). Les contrariétés, les situations qui révèlent notre fragilité sont des occasions privilégiées pour faire l’expérience de son amour. Celui qui prie avec persévérance le sait bien: dans les moments sombres ou de solitude,  la tendresse de Dieu à notre égard se fait — pour ainsi dire — encore plus présente. Quand nous sommes petits, nous ressentons davantage la tendresse de Dieu. Cette tendresse nous donne la paix, cette tendresse nous fait croître, parce que Dieu s’approche à sa façon, qui est proximité, compassion et tendresse. Et quand nous nous sentons peu de choses, c’est-à-dire petits, quelque soit la raison, le Seigneur s’approche davantage, nous le sentons plus proche. Il nous donne la paix, il nous fait croître. Dans la prière, le Seigneur nous serre contre Lui, comme un père avec son enfant. C’est ainsi que nous devenons grands: non pas dans la prétention illusoire de notre autosuffisance — cela ne fait grandir personne —, mais dans la force de placer toute espérance dans le Père. Précisément comme le font  les petits, c’est ce qu’ils font.
Demandons aujourd’hui à la Vierge Marie une grande grâce, celle de la petitesse: être des enfants qui ont confiance dans le Père, certains qu’il ne manque jamais de prendre soin de nous.

: Vatican



Riccardo De Luca/ Shutterstock - Le pape François
La puissance spirituelle de la littérature
41. J’espère avoir mis en évidence, dans ces brèves réflexions, le rôle que la littérature peut jouer dans l’éducation du cœur et de l’esprit du pasteur ou du futur pasteur, dans le sens d’un exercice libre et humble de sa rationalité, d’une reconnaissance fructueuse du pluralisme des langages humains, d’un élargissement de sa sensibilité humaine et, enfin, d’une large ouverture spirituelle à l’écoute de la Voix à travers de nombreuses voix.
42. En ce sens, la littérature aide le lecteur à briser les idoles des langages autoréférentiels faussement autosuffisants, statiquement conventionnels, qui risquent parfois de polluer même notre discours ecclésial en emprisonnant la liberté de la Parole. La parole littéraire est celle qui met en mouvement, libère et purifie le langage : elle l’ouvre enfin à d’autres possibilités d’expression et d’exploration, elle le rend accueillant à la Parole qui s’installe dans le langage humain, non pas lorsqu’il se comprend comme un savoir déjà plénier, définitif et complet, mais lorsqu’il devient une veille d’écoute en attente de Celui qui vient faire toutes choses nouvelles (cf. Ap 21, 5).
43. Le pouvoir spirituel de la littérature rappelle en définitive la tâche première confiée par Dieu à l’homme : celle de “nommer” les êtres et les choses (cf. Gn 2, 19-20). La mission de gardien de la création, assignée par Dieu à Adam, passe avant tout par la reconnaissance de sa propre réalité et du sens de l’existence des autres êtres. Le prêtre est lui aussi investi de cette tâche originelle de “nommer”, de donner du sens, de se faire instrument de communion entre la création et la Parole faite chair avec son pouvoir d’illuminer tous les aspects de la condition humaine.
44. L’affinité entre le prêtre et le poète se manifeste donc dans cette union sacramentelle mystérieuse et indissoluble entre la Parole divine et la parole humaine, donnant lieu à un ministère qui devient un service rempli d’écoute et de compassion, à un charisme qui devient responsabilité, à une vision du vrai et du bien qui éclot comme beauté. Nous ne pouvons qu’entendre les paroles que nous a laissées le poète Paul Celan : « Celui qui apprend vraiment à voir s’approche de l’invisible » (Microliti, Milano 2020, p. 101).
Donné à Rome, près de Saint-Jean-du-Latran, le 17 juillet 2024, en la douzième année de mon Pontificat.
FRANÇOIS



 
La Vidéo du Pape
En tant que chrétiens, nous sommes tous responsables de la mission de l’Église. Tous les prêtres. Chacun d’entre nous.
Nous, les prêtres, ne sommes pas les maîtres des laïcs, mais leurs pasteurs. Jésus nous a appelés les uns et les autres. Et non pas pour que les uns soient supérieurs aux autres, ni pour que les uns soient d’un côté et les autres de l’autre, mais afin que nous nous complétions. Nous formons une communauté. C’est pourquoi nous devons marcher tous ensemble sur le chemin de la synodalité.
Vous pourriez me demander : « Que puis-je faire, moi qui suis chauffeur de bus ? Ou moi, agricultrice ? Ou encore moi, pêcheur ? » La réponse est simple : ce que nous devons tous faire, c’est témoigner par nos vies et partager la responsabilité de la mission de l’Église.
Les laïcs, les baptisés, sont chez eux dans l’Église, et ils doivent en prendre soin. Il en va de même pour nous, les prêtres, les consacrés. Chacun apporte ce qu’il sait faire le mieux. Nous sommes coresponsables de la mission, nous participons et vivons dans la communion de l’Église.
Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.



Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.
Pape François – Octobre 2024



Méditation de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…
Un nouvel équilibre entre les nations (I)
 
 
La razzia du Hamas, le 7 octobre 2023, a provoqué le massacre, le viol, la mutilation de 1 140 Israéliens, des nourrissons aux vieillards, dans la Bande de Gaza, d’une superficie de 365 km². 240 otages israéliens sont arrachés à leurs familles.
 
L’État d’Israël réagit par des opérations militaires, qui ne sont pas encore arrivées à atteindre tous les objectifs programmés. En septembre 2024, des médias parlent de 40 000 morts dans la bande de Gaza.
 
Une étape nouvelle dans les équilibres entre les peuples, les nations et les États
 
Quelque chose de neuf est en train de se produire : trois-quarts de siècle après la fin de la Seconde Guerre Mondiale (1939-1945), les équilibres du monde sont en train de basculer en termes démographiques et économiques. On assiste à une offensive contre les pays occidentaux qui contrôlent les principaux leviers internationaux. Ces pays occidentaux sont désignés comme « Nord » par leurs adversaires d’un « Sud Global », qui substituerait au vieil affrontement entre l’Ouest et l’Est, entre l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), créée en 1949, et le Pacte de Varsovie, créé en 1955, en compétition pour la domination sur le « tiers-monde » d’alors, un nouvel antagonisme. Le « Nord » est désormais isolé ; le « Sud » a comme leadership, au 1er janvier 2024, l’alliance des dix États des BRICS +, soit le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine, l’Afrique du Sud + l’Arabie Saoudite, l’Égypte, les Émirats Arabes Unis, l’Ethiopie et l’Iran, tous situés dans et autour de la Péninsule Arabique. Regroupant 46 % de la population mondiale (les États du G7, créé en 1975, forment moins de 10 %), ils représentent 36 % du Produit Intérieur Brut mondial en parité de pouvoir d’achat (moins de 30 % pour le G7). Les États du G7 sont : l’Allemagne, le Canada, les États-Unis d’Amérique, la France, l’Italie, le Japon, le Royaume-Uni.
 
Ce qui se passe dans la Bande de Gaza depuis octobre 2023 exacerbe le clivage entre les deux ensembles : en effet, l’État d’Israël est identifié au « Nord » et la Palestine au « Sud ». C’est ainsi que l’Afrique du Sud, tête de pont du « Sud », a déposé une plainte pour « génocide » contre Israël le 29 décembre 2023 devant la Cour Internationale de Justice. Celle-ci, créée en 1945 par les Nations Unies, est effective depuis 1946. Elle a son siège à La Haye aux Pays-Bas. Par cet acte, Pretoria, capitale administrative de l’Afrique du Sud, télescope deux dates : 1947, qui annonce la création de l’État d’Israël par l’Organisation des Nations Unies (ONU), instituée en 1945, pour les Juifs qui ont échappé aux atrocités du nazisme, et 2023, le commencement de l’hécatombe à Gaza. En agissant ainsi, Pretoria essaie de délégitimer l’existence d’Israël. Pretoria s’efforce de substituer la mémoire de la lutte anticoloniale, symbolisée par le combat contre l’apartheid, à celle de la bataille contre l’antisémitisme hitlérien.
 
Tout ce qui se passe en Terre Sainte a, de plus, une connotation religieuse. À l’islamisme radical du Hamas sunnite et à ses alliés chiites de l’axe de résistance à l’entité sioniste, chapeauté par Téhéran, s’opposent des groupes ultras juifs qui s’inspirent de leur histoire religieuse.
 
Il est intéressant de constater que ces messianismes libérateurs sont portés par des pays dont la plupart sont dirigés par des régimes autoritaires face à un « Nord » stigmatisé comme colonialiste, impérialiste, raciste, islamophobe, mais qui fonctionne selon la règle de l’État de droit et des principes démocratiques. Ceci est étonnant. En effet, des habitants du « Sud » cherchent, depuis des années, à rejoindre le « Nord » à la recherche d’un bien-être et d’un environnement de justice qui ne leur sont pas reconnus dans leurs pays d’origine.
 
Nous connaissons les conséquences de ces migrations. Le « Nord » est transformé en profondeur par la démographie qui entraîne une mixité ethnique et culturelle croissante. La réaction des habitants du « Nord » est double : soit on intègre ces migrants, soit on prône le séparatisme. Les événements dans les universités du « Nord » à propos de la Bande de Gaza manifestent combien la question est complexe. La réaction des autorités universitaires n’est pas simple. En effet, ou bien il faut « protéger » les étudiants juifs des menaces venant d’étudiants du « Sud », ou bien il faut rappeler aux étudiants du « Sud », pro-palestiniens de Gaza, ce qu’est un État de droit à propos des bâtiments et des institutions publiques. (à suivre)
.+  Guy Harpigny,
Évêque de Tournai
(Source : Eglise de Tournai, octobre 2024)
 


  

Un mot du Curé…
ASSEMBLÉE EN VUE DE LA MISE À JOUR DU « CARNET DE ROUTE » DE L’UP

 
D’où venons-nous ?
Dans l’entité de Leuze, le processus « Refondation » a été entamé en 2015, puis arrêté, avant d’être repris en 2017. Le « Carnet de route », signé le 12 novembre 2017, a été élaboré pour les années 2017 à 2020.
Une démarche d’actualisation a été lancée en 2020, c’est-à-dire au terme de ces trois années et ce, malgré la crise sanitaire. Au terme de ce discernement, un « Addendum » au « Carnet de route » de l’Unité pastorale de Leuze-en-Hainaut a été présenté le 25 mars 2021 « pour guider le chemin de l’Unité pastorale durant les 4 années à venir », soit jusqu’au 25 mars 2025.  
Aujourd’hui
Il nous est donc demandé de réfléchir pour les années à venir à la manière de faire Église dans notre unité pastorale. Au terme de cette réflexion, une « feuille de route » sera établie en collaboration avec l’EDAP (Équipe diocésaine d’accompagnement des paroisses) et proposée à notre Évêque pour les quatre années à venir, soit 2025-2029. Au terme de ce cheminement, le Conseil pastoral de l’Unité pastorale et son Équipe d’animation pastorale seront envoyés pour une période de quatre années.
Comment ?
L’EAP, en accord avec l’EDAP, a proposé deux étapes pour avancer dans cette réflexion.  
La première est le « Questionnaire en vue du renouvellement du Carnet de route » qui a été distribué par mail le 24 août ainsi qu’aux célébrations dominicales des 24, 25, 31 août et 01 septembre (pour les personnes qui souhaitaient un exemplaire papier).
La deuxième étape proposée est une assemblée où chacun est le bienvenu (membres du conseil pastoral, fabriciens, visiteurs de malades, catéchistes, choristes, sacristains, organistes… ainsi que toute personne qui se considère membre de la communauté chrétienne de Leuze). Cette assemblée est fixée au samedi 19 octobre de 9h00 à 12h30 en la Collégiale St-Pierre à Leuze. Elle comprendra : un temps de partage de la Parole de Dieu, un discernement de propositions en vue de l’actualisation du carnet de route, un discernement dans la proposition de membres du Conseil pastoral et de l’Équipe d’animation pastorale, un temps de prière. Soyez tous et toutes les bienvenus !
Ensuite
Les résultats des discussions seront analysés par l’EAP qui retiendra, parmi les propositions, celles qui lui sembleront les plus opportunes. Ces propositions seront alors confiées à l’EDAP qui rédigera la nouvelle « feuille de route » pour les quatre années à venir ; cette feuille de route sera présentée à notre Evêque pour
avis. Le dimanche 16 mars 2025, le Doyen principal, le Chanoine M. Decarpentrie, présidera l’Eucharistie dominicale et enverra au nom de notre Evêque, l’EAP  et le Conseil pastoral en leur remettant la nouvelle « feuille de route ».
Dans l’immédiat…
Bienvenue à tous le samedi 19 octobre de 9h00 à 12h30 en la Collégiale St-Pierre.

La matinée sera animée par l’EAP ; elle comportera un temps de prière, un discernement des priorités selon une méthode déjà éprouvée en d’autres unités pastorales, la proposition de personnes pour le Conseil pastoral et l’Equipe d’animation pastorale. A bientôt donc !
Bon dimanche !
 

Les membres de l’EAP :
Marie Allard, Isabelle Bernard,
Bénédicte Delporte,
Michel Hublet, Caty Rodriguez,
Chanoine Patrick Willocq

Intentions de prière pour la semaine

+ Pour les jeunes qui découvrent l’amour, pour les couples qui se préparent au mariage, pour les époux unis… Qu’ils grandissent dans la foi et la confiance réciproque et découvrent en Toi la source de leur amour… Seigneur, nous te prions…
+ Pour les couples en difficulté, les foyers désunis, les familles recomposées et tous ceux qui les accompagnent… Pour les parents qui ont des difficultés à accepter les choix de leurs enfants… Pour les époux séparés par la maladie ou la mort… Pour celles et ceux qui vivent un célibat non désiré… Qu’ils gardent toujours espérance et trouvent accueil et compréhension dans l’Église… Seigneur, nous te prions…
+ Pour ceux et celles qui vivent le célibat à cause du Royaume de Dieu… Qu’ils soient toujours signes de l’Absolu de ton Alliance avec l’Humanité… Seigneur, nous te prions…
+ Pour la grande famille de l’Église, pour celle de nos communautés, pour nos familles et celles qui nous entourent… Que chacun s’épanouisse dans l’amour véritable et vive dans la confiance… Seigneur, nous te prions…




CONTACTS

M. le Chanoine Patrick Willocq, curé
Responsable de l’Unité pastorale
Curé de tous les clochers de l’entité de Leuze
Tour Saint-Pierre 15
7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
0479/62.66.20

M. le Diacre Jean-Marie Bourgeois
Pastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaire
Grand-Rue 56
7900 Leuze-en-Hainaut
0470/100 340

M. le Diacre Michel Hublet
Mise à jour du site internet
Avenue de la Croix-Rouge 44
7900 Leuze-en-Hainaut

Règlement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018


Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,
Curé - Adresse : voir plus haut
Délégué  à la protection des données :
Secrétaire général de la Conférence  épiscopale belge -
Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1,  1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -
Autorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -

Secrétariat décanal
Tour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00
En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen

Nous porterons dans notre prière ...

Baptêmes
 
- Le dimanche 12 octobre, à 14h30, en l’église de Leuze, Thelyo Grulois, enfant de Emia Lefebvre et Célestin Grulois

Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime !  
 
 
Mariages

- Le samedi 05 octobre, à 14h00, en l’église de Leuze, Julie Depelchin et Geoffrey Hautmont
  
Que tous nos vœux de bonheur et notre prière accompagnent les nouveaux époux !
 
 
Funérailles
 

 
Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.
Dans notre Unité pastorale…







Pour les familles… les jeunes... les enfants








Abbaye cistercienne Notre-Dame de Soleilmont
Avenue Gilbert, 150 6220 Fleurus Belgique
Tel : 071 38 02 09 - Fax : 071 38 56 62
Email : sol.accueil@proximus.be


Dans notre Diocèse de Tournai…



 












Dans l’Église de Belgique…



Le 4 juin dernier, le Secrétariat général de l’Enseignement catholique (SeGEC) rassemblait près de 200 profs de religion à Seneffe pour un temps de formation. Nous en avons profité pour demander à quelques enseignantes ce qu’elles pensaient du nouveau programme…
"On construit le cours avec les enfants"
Isabelle Timmermans
Nous partons de la curiosité des enfants, des questions qu’ils se posent. On prend le temps de les collationner. Puis, à partir de ces questions, on construit le cours, avec eux. On les invite à devenir enquêteurs et à nourrir ainsi leur curiosité. Ce qui est très chouette dans ce nouveau programme, c’est la multitude des outils qu’on met à leur disposition. Notamment des outils numériques, qui parlent énormément aux enfants – mais auxquels nous, enseignants, devons nous former. Parmi les outils, il y a évidemment des livres aussi. La Bible, mais pas seulement. Cela permet de s’ouvrir à l’ensemble des religions, ainsi qu’au non-religieux. Ce nouveau cours permet une vraie ouverture sur le monde
"L’approche est totalement différente"
Emmanuelle Sabourin
L’an passé, c’était la première année durant laquelle je travaillais avec le nouveau programme. Évidemment, cela a nécessité des heures et des heures de préparation. En même temps, en tant que professeure, c’est très enrichissant pour moi d’appréhender les choses différemment. De faire des recherches autour de thèmes nouveaux. D’utiliser des nouveaux outils, comme des vidéos, des chansons, des poésies. L’approche est totalement différente! Et je trouve qu’elle suscite plus d’intérêt auprès des élèves. Cela suscite de la curiosité, du dialogue entre eux. Petit à petit, je commence à percevoir la différence que cela amène dans notre manière de travailler, dans notre rapport aux enfants et dans leur réflexion.
"Cela permettra d’englober davantage d’enfants"
Sophie Paque
Le cours de religion avait besoin de nouveaux outils, mais aussi de quelque chose de beaucoup plus proche des enfants, de ce qui leur parle, de la société dans laquelle ils évoluent. Dans ma classe, il n’y a pas même 10% de mes élèves qui sont de culture catholique et qui, à la maison, apprennent réellement les valeurs de la religion catholique. Cette nouvelle approche permettra d’englober davantage d’enfants. C’est en tout cas ce que j’espère…
"On va rejoindre la question fondamentale de l’enfant"
Cécile Bouhy
Ce qui m’interpelle, c’est de laisser à l’enfant la possibilité de se questionner. De rejoindre la question fondamentale en lui-même. Une question qui va lui permettre de se connecter à son authenticité, quelle que soit sa religion. Le défi est là, et il est génial: car après s’être connecté à lui-même, l’enfant va pouvoir se dire, et échanger avec les autres, au moyen des outils qui nous seront donnés. L’échange passe d’abord par la connexion à soi. C’est là que se situe, pour moi, la nouveauté de ce programme: je me connecte avec moi-même, je me pose devant les autres, j’échange. Et je reçois
 
(: Cathobel)









 
Pour sa 6e journée d’étude consacrée au patrimoine religieux qui aura lieu le 18 octobre 2024, le CIPAR abordera la thématique de l’image peinte en y exposant son histoire, son sens et les enjeux de sa conservation.
 

 
La plupart de nos églises sont remplies d’images saintes léguées par les générations qui nous ont précédés. La peinture sur toile et sur panneau occupe une place prépondérante parmi ces images qui ornent les lieux de culte. Maîtres- autels, autels latéraux, chemins de croix ou œuvre isolée évoquant un récit biblique particulier ou la vie d’un saint, sont autant de supports pour lesquels la peinture a été plébiscitée.
Mieux connaître pour mieux conserver
La première partie de la journée sera consacrée au sens et à l’histoire de la présence de l’image peinte dans les édifices religieux ainsi qu’à leur fonction. Nombreux sont les édifices qui conservent encore un chemin de croix peint sur toile ou sur panneau. Exceptées quelques réalisations particulièrement remarquables, ce type de mobilier est souvent mal perçu, raison pour laquelle une attention particulière lui sera apportée pendant cette journée.
La seconde partie de la journée portera sur la conservation préventive de la peinture sur toile ou sur panneau en mettant en avant le travail de terrain des services diocésains du patrimoine et des différentes initiatives émanant des diocèses et des Fabriques d’église pour préserver et restaurer ce patrimoine.
Cette journée d’étude s’adresse aux responsables d’églises et à tout amateur de patrimoine religieux. Elle sera suivie de la parution d’une publication sur le même sujet. Celle-ci rassemblera, suivant le modèle des brochures précédentes du CIPAR, des recommandations et des conseils pratiques pour observer au mieux la peinture et savoir quand et comment agir pour assurer sa conservation de manière durable. Sur la même thématique, une nouvelle exposition itinérante verra le jour et voyagera dans les diocèses à partir du printemps 2025.
Programme
9h00 : accueil
9h30 : mot d’accueil par Laurent Temmerman (Administrateur CIPAR)
Matinée placée sous la présidence de Julien Maquet (Conservateur du Trésor de la cathédrale de Liège)
9h40 : Les sens, fonctions et types d’images peintes dans les églises par Ralph Dekonink (UCLouvain)
10h10 : Histoire et sens du chemin de croix par Christian Pacco (Administrateur délégué CIPAR)
10h30 : Objets de nos églises trop souvent négligés : les tableaux par Pierre-Yves Kairis (Directeur émérite de la section de recherches en histoire de l’art de l’IRPA)
11h10 : pause-café
11h30 : Comment réaliser l’inventaire des peintures d’une église et problématiques de conservation par le service du Patrimoine de l’Évêché de Liège
12h15 : questions-réponses
12h30 : repas de midi
Après-midi sous la présidence de Yves Charlier (Administrateur du CIPAR)
13h30 : Comment rédiger un marché public pour une intervention de conservation-restauration ? par Léopold d’Otreppe (Collaborateur CIPAR)
14h00 : questions-réponses
14h15 : La conservation des tableaux des lieux de culte désaffectés par Déborah Lo Mauro (Conservatrice du Centre d’Histoire et d’Art Sacré en Hainaut, CHASHa asbl)
14h45 : témoignages de restauration Tableau à l’église Saint-Remy d’Ottignies par Benoit Paul (Président de la Fabrique d’église)
Tableau de l’église Saint-Martin d’Acoz par Bernard Alexandre (Président de la Fabrique d’église)
Les peintures sinistrées lors des inondations de juillet 2021 : retour d’expérience et prise en charge par le service Patrimoine du diocèse de Liège
15h25 : pause-café
15h45 : suite des témoignages
Le cas particulier de l’atelier de conservation-restauration communal de la ville d’Ath par Laurent Dubuisson (directeur-conservateur de la maison des Géants)
16h05 : questions
16h20 : conclusion de la journée par Jean-Pierre Lorette (Administrateur CIPAR)
Informations pratiques
Thème de la journée : La peinture, tableaux et panneaux
: Namur, Arsenal (rue Bruno 11, 5000 Namur)
Quand : vendredi 18 octobre 2024, de 9h00 à 16h30
Inscriptions : par mail à info@cipar.be ou par tél. +32 (0) 498 35 18 16 avant le 7 octobre
Participation aux frais : 40 € (25 € prix étudiant) à verser sur le compte BE60 5230 8094 6070 du CIPAR
Ce prix inclut la participation aux exposés, les pauses et le lunch. Pour les fabriciens le montant peut être porté en compte à l’article 11 sous la rubrique des dépenses ordinaires de la fabrique d’église. Une attestation de participation sera délivrée.
Le paiement valide l’inscription.
Organisation et contact : CIPAR, place du Palais de Justice 3, 5000 Namur. Tél. +32 498 35 18 16
Journée organisée avec le soutien de l’AWaP, de la FWB et de la Conférence épiscopale de Belgique.
Lecture du soir… ou du matin…

LA TRADITION DU NOUVEAU

L’Art qui conduit à la Transcendance


* ARTS VISUELS :
CINÉMA – A LA REDÉCOUVERTE DE MARCEL PAGNOL


* LIVRES
FRÈRE FRANÇOIS SASINGENA-TREVEDY, PAYSAN DE DIEU



* MUSIQUE :
JEAN-SÉBASTIEN BACH : CANTATE BWV 7
ET LES HUIT PETITS PRÉLUDES  ET FUGUES (BWV 553-560) -
TROIS FANTAISIES ET FUGUES (BWV 561-563) –
SAMUEL  BARBER, ADAGIO POUR CORDES












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