Une Parole … Une Prière
29ÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
…POUR SERVIR ET DONNER SA VIE…
« En ce temps-là, Jacques et Jean, les fils de Zébédée, s’approchent de Jésus et lui disent : « Maître, ce que nous allons te demander, nous voudrions que tu le fasses pour nous. » Il leur dit : « Que voulez-vous que je fasse pour vous ? » Ils lui répondirent : « Donne-nous de siéger,
l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire. » Jésus leur dit : « Vous ne savez pas ce que vous demandez. Pouvez-vous boire la coupe que je vais boire, être baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé ? » Ils lui dirent : « Nous le pouvons. » Jésus leur dit : « La coupe que je vais boire, vous la boirez ; et vous serez baptisés du baptême dans lequel je vais être plongé. Quant à siéger à ma droite ou à ma gauche, ce n’est pas à moi de l’accorder ; il y a ceux pour qui cela est préparé. »
Les dix autres, qui avaient entendu, se mirent à s’indigner contre Jacques et Jean. Jésus les appela et leur dit : « Vous le savez : ceux que l’on regarde comme chefs des nations les commandent en maîtres ; les grands leur font sentir leur pouvoir. Parmi vous, il ne doit pas en être ainsi. Celui qui veut devenir grand parmi vous sera votre serviteur. Celui qui veut être parmi vous le premier sera l’esclave de tous : car le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude. »
Évangile de Jésus Christ selon selon Saint Marc 10, 35-45
Illustration Macha Chmakoff, : Macha Chmakoff, Le lavement des pieds, 81x65
Méditation du Pape François…
Angélus – Place St-Pierre, Rome – 17 octobre 2021
Chers frères et sœurs, bonjour !
L’Évangile
de la liturgie d’aujourd’hui (Mc 10, 35-45) raconte que deux disciples,
Jacques et Jean, demandent au Seigneur
de siéger un jour à ses côtés dans la gloire, comme s’ils étaient des «premiers
ministres», quelque chose comme ça. Mais les autres disciples les entendent et
ils s’indignent. Alors, Jésus, avec patience, leur offre un grand enseignement
: la vraie gloire ne s’obtient pas en s’élevant au-dessus des autres, mais en
vivant le même baptême qu’il recevra bientôt à Jérusalem, c’est-à-dire la
croix. Qu’est-ce que cela veut dire? Le mot «baptême» signifie «immersion»: par
sa Passion, Jésus s’est plongé dans la mort, offrant sa vie pour nous sauver.
Sa gloire, la gloire de Dieu, est donc l’amour qui devient service, non la
puissance qui aspire à la domination. Pas le pouvoir qui aspire à la
domination, non! C’est l’amour qui devient service. C’est pourquoi Jésus
conclut en disant aux siens et à nous aussi: «Celui qui voudra devenir grand
parmi vous, sera votre serviteur» (Mc 10, 43). Pour devenir grand, vous devrez
aller sur le chemin du service, servir les autres.
Nous
sommes face à deux logiques différentes: les disciples veulent émerger
et Jésus veut s’immerger. Arrêtons-nous sur ces deux verbes. Le premier
est émerger. Il exprime cette mentalité mondaine par laquelle nous sommes
toujours tentés: vivre toutes choses, même les relations, pour nourrir notre
ambition, pour gravir les marches du succès, pour atteindre des postes
importants. La recherche du prestige personnel peut devenir une maladie de
l’esprit, allant jusqu’à se masquer derrière de bonnes intentions; par
exemple quand, derrière le bien que nous faisons et que nous prêchons, nous ne
cherchons en réalité que nous-mêmes et notre affirmation, c’est-à-dire aller de
l’avant, gravir les échelons... Et nous voyons cela aussi dans l’Eglise.
Combien de fois, nous chrétiens, qui devrions être les serviteurs, nous
essayons de gravir les échelons, d’avancer. Nous avons donc toujours besoin de
vérifier les véritables intentions du cœur, de nous demander: «Pourquoi est-ce
que je continue ce travail, cette responsabilité? Pour offrir un service ou être
remarqué, loué et recevoir des compliments?». A cette logique mondaine, Jésus
oppose la sienne: au lieu de s’élever au-dessus des autres, descendre du piédestal
pour les servir; au lieu d’émerger au-dessus des autres, se plonger dans la vie
des autres. J’ai vu dans l’émission «A sua immagine» [A son image] ce service
des Caritas afin que personne ne manque de nourriture: se soucier de la faim
des autres, se soucier des besoins des autres. Il y a beaucoup, beaucoup de
personnes dans le besoin aujourd’hui, et davantage après la pandémie. Regarder
et s’abaisser dans le service, et ne pas chercher à gravir les échelons pour sa
propre gloire.
Voici
donc le deuxième verbe: s’immerger. Jésus nous demande de nous immerger.
Et comment s’immerger? Avec compassion, dans la vie de ceux que nous
rencontrons. Là [dans ce service de la Caritas] nous voyions la faim: et nous,
pensons-nous avec compassion à la faim de tant de personnes? Lorsque nous
sommes devant notre repas, qui est une grâce de Dieu et que nous pouvons
manger, il y a beaucoup de gens qui travaillent et qui ne peuvent pas avoir
assez de repas pour tout le mois. Pensons-nous à cela? S’immerger avec
compassion, avoir de la compassion. Ce n’est pas une donnée d’encyclopédie: il
y a beaucoup de personnes qui ont faim... Non! Ce sont des personnes. Et moi,
est-ce que j’ai de la compassion pour les personnes? Compassion pour la vie de
ceux que nous rencontrons, comme Jésus l’a fait avec moi, avec toi, avec nous
tous, il s’est approché avec compassion.
Regardons
le Seigneur crucifié, immergé jusqu’au bout dans notre histoire blessée, et découvrons
la manière de faire de Dieu, nous voyons qu’il n’est pas resté là-haut au ciel,
à nous regarder de haut, mais il s’est abaissé pour nous laver les pieds. Dieu
est amour et l’amour est humble, il ne s’élève pas, mais il descend en bas,
comme la pluie qui tombe sur la terre et apporte la vie. Mais comment faire
pour aller dans la même direction que Jésus, passer de l’attitude d’émerger à celle de s’immerger, de la mentalité,
mondaine, du prestige, à celle, chrétienne, du service? Il faut de
l’engagement, mais ce n’est pas suffisant. Seuls, c’est difficile, voire
impossible, mais nous avons en nous une force qui nous aide. C’est celle du
baptême, de cette immersion en Jésus que nous avons tous reçue par grâce
et qui nous dirige, nous pousse à le suivre, non à chercher notre propre intérêt
mais à nous mettre au service. C’est une grâce, c’est un feu que l’Esprit a
allumé en nous et qu’il faut alimenter. Demandons aujourd’hui à l’Esprit Saint
de renouveler en nous la grâce du baptême, l’immersion en Jésus, dans sa manière
d’être, pour être davantage des serviteurs, être serviteurs comme lui l’a été
pour nous.
Et
prions la Sainte Vierge: bien qu’elle soit la plus grande, elle n’a pas cherché
à émerger, mais elle a été l’humble servante du Seigneur, et elle est entièrement
immergée dans notre service, pour nous aider à rencontrer Jésus.
La Vidéo du Pape …
En tant que chrétiens, nous sommes tous responsables de la mission de l’Église. Tous les prêtres. Chacun d’entre nous.
Nous, les prêtres, ne sommes pas les maîtres des laïcs, mais leurs pasteurs. Jésus nous a appelés les uns et les autres. Et non pas pour que les uns soient supérieurs aux autres, ni pour que les uns soient d’un côté et les autres de l’autre, mais afin que nous nous complétions. Nous formons une communauté. C’est pourquoi nous devons marcher tous ensemble sur le chemin de la synodalité.
Vous pourriez me demander : « Que puis-je faire, moi qui suis chauffeur de bus ? Ou moi, agricultrice ? Ou encore moi, pêcheur ? » La réponse est simple : ce que nous devons tous faire, c’est témoigner par nos vies et partager la responsabilité de la mission de l’Église.
Les laïcs, les baptisés, sont chez eux dans l’Église, et ils doivent en prendre soin. Il en va de même pour nous, les prêtres, les consacrés. Chacun apporte ce qu’il sait faire le mieux. Nous sommes coresponsables de la mission, nous participons et vivons dans la communion de l’Église.
Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.
Vous pourriez me demander : « Que puis-je faire, moi qui suis chauffeur de bus ? Ou moi, agricultrice ? Ou encore moi, pêcheur ? » La réponse est simple : ce que nous devons tous faire, c’est témoigner par nos vies et partager la responsabilité de la mission de l’Église.
Les laïcs, les baptisés, sont chez eux dans l’Église, et ils doivent en prendre soin. Il en va de même pour nous, les prêtres, les consacrés. Chacun apporte ce qu’il sait faire le mieux. Nous sommes coresponsables de la mission, nous participons et vivons dans la communion de l’Église.
Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.
Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.
Pape François – Octobre 2024
Méditation de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…
Un nouvel équilibre entre les nations (III)
Signification musulmane de la
razzia
Les initiateurs de l’attaque du 7 octobre
lui donnent le nom de « Déluge d’al-Aqsa ». Cette expression invoque le
déluge envoyé par Dieu pour noyer tous les mécréants qui n’ont pas cru en sa révélation.
Dans la sourate 11 du Coran, « Houd », consacrée aux châtiments divins, on
trouve la réécriture de la fin du récit biblique sur l’arche de Noé. Voilà pour
le « Déluge ».
À ce Déluge
est accolée la référence à la mosquée al-Aqsa de Jérusalem, devenue, dans la
narration arabo-musulmane contemporaine, le symbole de l’usurpation sacrilège
de la Palestine par Israël, et du viol de ses lieux saints musulmans par «
l’entité sioniste » impie.
On y
sent l’islamisation exacerbée de la cause palestinienne et son identification à
un jihad (guerre sainte), inscrit dans la continuité de « l’Intifada d’al-Aqsa »,
du 28 septembre 2000 au 8 février 2005. Déclenchée par la promenade
provocatrice d’Ariel Sharon (1928-2014), alors chef de l’opposition de droite
au gouvernement d’Ehud Barak (né en 1942), sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem,
ce soulèvement, Intifada, engendre un cycle de violences qui ont fait dérailler
le processus de paix engagé avec l’Organisation de Libération de la Palestine
(OLP) à Oslo en 1993.
En
représailles à cette Intifada, Israël érige le « mur de séparation » entre l’État
d’Israël et la Cisjordanie. En même temps, le Hamas remporte les élections
municipales de 2005, puis législatives de 2006, à Gaza. Ce territoire passe
sous contrôle exclusif du Hamas, au détriment de l’OLP, dirigée par Mahmoud
Abbas (né en 1935), après le décès de Yasser Arafat (né en 1929) le 11 novembre
2004 à l’hôpital militaire Percy de Clamart, en banlieue parisienne.
La
mention d’al-Aqsa inscrit la razzia du 7 octobre dans la continuité de
l’Intifada bénéfique au Hamas (2000-2005), en ajoutant une allusion coranique
du terme « Déluge ».
Outre
cette appellation de Déluge d’al-Aqsa, nous avons la razzia du Prophète
contre les Juifs vivant dans l’oasis de Khaïbar, l’an 7 de l’Hégire (628).
La biographie canonique du Prophète relate cet événement d’une cruauté assumée
car il consiste en un châtiment exemplaire des ennemis de Dieu : les hommes
sont torturés, passés au fil de l’épée ; les femmes capturées et réparties dans
les harems des vainqueurs ; les enfants réduits en esclavage. Tout cela aux
cris de « Ô toi le Victorieux, donne la mort, donne la mort ».
Cette épopée
est invoquée rituellement lors des opérations anti-israéliennes contemporaines
menées par le Hezbollah libanais (parti paramilitaire chiite), les différents
groupes islamistes palestiniens et d’autres, en entonnant le slogan : « Khaïbar,
Khaïbar, hé les Juifs, l’armée de Muhammad est de retour ». En août 2006, le
premier missile à longue portée du Hezbollah tiré sur une ville israélienne est
nommé « Khaïbar I ». En mai 2023, Téhéran dévoile sa nouvelle fusée balistique
capable d’atteindre Israël, également nommée Khaïbar.
À la
prédication du vendredi à la mosquée, celui qui prend la parole cite régulièrement
le hadith, cité par le traditionniste Boukhari au n° 3593 : À la fin des
temps, il ne restera plus qu’un musulman et un juif sur terre : ce dernier se
cachera derrière une pierre, ou un arbre, qui se mettra à parler et dira ‘ô
musulman, il y a un juif caché derrière moi, viens et tue-le’. Ce hadith
est prononcé en arabe à la mosquée. S’il est prononcé dans la langue du pays,
comme l’a fait l’imam de la grande mosquée de Toulouse en mai 2022, la justice
intervient et condamne.
L’expression
« la razzia bénie » est devenue le moteur par excellence de la « conquête
islamique ». Son temps fort est la prise de Constantinople en 1453, même si
elle a été contrebalancée par la disparition de l’Andalousie musulmane due à la
Reconquista des Rois Catholiques, avec la chute de Grenade en 1492. La défaite
la plus frappante à l’époque moderne consiste en l’échec du siège ottoman de
Vienne en 1683, prélude à l’effondrement de la Sublime Porte, l’empire ottoman,
en 1918.
Au XXIe siècle, l’expression « la double razzia bénie »
est utilisée par les auteurs du 11 septembre 2001 pour qualifier l’assaut
contre New York et Washington. Ceci manifeste qu’on est dans l’interprétation
religieuse des événements : la fin dernière du monde ne sera que la soumission
de la planète entière à l’islam. Dans cette vision de l’histoire, la
destruction d’Israël et la restauration d’une Palestine islamique de la mer Méditerranée
au fleuve Jourdain constituent une étape obligée.
Le 7
octobre 2001, Ben Laden (1957-2011) transforme l’attentat du 11 septembre 2001
en jihad anti-impérialiste mondial contre l’hyperpuissance américaine puis
l’Occident. Il diffuse cette interprétation nouvelle dans une grotte afghane
retransmise par la chaîne qatarie Al Jazeera : « l’Amérique ne goûtera plus
jamais la sécurité avant que la Palestine ne la connaisse et que toutes les armées
occidentales mécréantes ne quittent les terres saintes ». La razzia du 7
octobre 2023 répond à l’interprétation donnée par Ben Laden le 7 octobre 2001. (à
suivre)
.+ Guy Harpigny,
Évêque de Tournai
(Source : Eglise de Tournai, octobre 2024)
Un mot du Curé…
EN VUE DE LA MISE À JOUR DU « CARNET DE ROUTE » DE L’UNITÉ PASTORALE (II)
UNE SYNTHÈSE DES PRINCIPAUX ÉLÉMENTS DE L’ENQUÊTE VIA LE QUESTIONNAIRE DISTRIBUÉ
Environ
100 formulaires papier ont été distribués et 250 ont été envoyés
par mail.
21
formulaires complétés sont revenus soit dans la boîte aux lettres
soit par mail. Ces questionnaires sont complétés en tout ou seulement pour
certaines questions (ce qui explique les incohérences des chiffres cités pour
certaines questions). Voici une synthèse de ces réponses (quand des questions
n’ont quasi pas trouvé réponse, j’ai fait l’impasse dans cette synthèse pour ne
pas alourdir davantage).
+
Renseignements sur les personnes
ayant répondu
+ L’âge
des personnes ayant répondu se situe entre 50 et 90 ans.
+ 9
hommes et 9 femmes ont répondu (certains n’ont pas indiqué d’âge ou de
genre)
+ 1 formulaire
complété par un groupe de plusieurs personnes.
+ 12
habitent Leuze, 2 Pipaix, 1 Blicquy, 1 Thieulain, 1 Gallaix, 1 Chapelle-à-Wattines,
1 Vieux-Leuze (certains n’ont pas indiqué le lieu).
+ 4
vivent seul, 14 en couple (certains n’ont pas indiqué), 1 communauté.
+ 12
sont déjà impliqués en paroisse, 2 pas encore (certains n’ont pas répondu).
La Chronique et la communication
+ 15
reçoivent la Chronique par mail, 12 la version papier, 5 ne reçoivent pas
(certains ont répondu à plusieurs rubriques).
+ 5
lisent la Chronique intégralement ; 10 uniquement certaines rubriques
(informations sur les heures des messes, sur les défunts, les affiches
publicitaires, le mot du Curé et de l’Évêque).
+ La
Chronique est jugée très bien par 6 personnes, à améliorer par 7 personnes ; les
améliorations souhaitées sont : la vie locale de Leuze (les fêtes, les
spectacles, les films…), les chants de la messe, « beaucoup de rubriques
(livre, arts, musique, longs textes…) sont inutiles »,…
+ A la
question « Comment préférez-vous être informés ? », 15 répondent par la
Chronique, 2 par une newsletter, 7 par un mail individuel, 10 par l’affichage
dans les églises, 16 par les annonces à la messe, aucun par les réseaux sociaux
ou le site internet de la paroisse.
+ Quand
une question se pose à vous, vous vous adressez au curé (15 personnes), à
la secrétaire paroissiale (4 personnes), à la personne-relais de votre clocher
(4 personnes), à un membre de l’EAP (3 personnes). 1 personne ajoute : au
responsable de chorale et à l’organiste.
+ A
quelle fréquence êtes-vous en contact avec le secrétariat paroissial ? 3
personnes une fois par semaine, 1 personne une fois par mois, 3 personnes une
fois par an, 10 personnes jamais.
+ Les
horaires du secrétariat sont jugés pratiques par 9 personnes ;
1
personne souhaite aussi des plages mensuelles de 18h à 19h30 et une autre
personne évoque un soir par semaine ou le samedi.
La convivialité
+ Il était
demandé si « un verre amical » devait être proposé après la messe du
dimanche : 1 personne répond « oui » en précisant qu’elle n’ira pas ; 3
personnes répondent « oui » en précisant qu’elles iront ; 6 personnes répondent
« à l’occasion sans date fixe » ; 7 personnes répondent « ce n’est pas nécessaire
».
+ Le
souper paroissial annuel est jugé positif par 4 personnes mais qui ne
participeront pas, 10 personnes et qui participeront, 3 personnes estiment que
ce n’est pas nécessaire.
Les groupes et équipes paroissiaux
+ Il était demandé si les
groupes paroissiaux étaient connus :
+ l’équipe des catéchistes : 1
oui, 15 « de nom », 2 non
+ les chorales : 8
oui, 10 « de nom », 1 non
+ les
visiteurs des personnes âgées et malades : 1 oui, 12 « de nom », 5 non
+ l’aumônerie de l’hôpital : 1
oui, 6 « de nom », 10 non
+ la pastorale familiale : 3
oui, 4 « de nom », 7 non
+ les mouvements de jeunesse : 3
oui, 8 « de nom », 9 non
+ l’équipe St Vincent de Paul : 4
oui, 14 « de nom », 1 non
+ la
communauté des religieuses : 3 oui, 14 « de nom », 1 non
+ la communauté Foi & Lumière : 7
oui, 11 « de nom », 2 non L’organisation d’activités de foi au sens large
Il était demandé s’il fallait
continuer à organiser :
+ la soirée cinéma à l’église : 17
oui, 1 non
+ les soirées concert à l’église : 18
oui, 1 non
+ le festival de l’orgue de Leuze : 17
oui
+ les messes de Ste-Cécile ou de
Ste-Barbe : 14 oui, 2 non
+ une
messe mensuelle avec les familles en catéchèse : 14
oui (mais 4 seulement « j’y participerai »), 3 non
+ la collecte de vivres de l’Avent : 14
oui, 2 non
+ la bibliothèque spirituelle dans
l’église : 7 oui, 12 non
Il était demandé s’il fallait
organiser en plus :
+ un
groupe de partage biblique : 7 oui (avec 3 seulement « j’y participerai »), 6 non
+ des
conférences de formation aux contenus de la foi : 11
oui (avec 5 « j’y participerai »), 3 non
+ une
journée pour découvrir le patrimoine des églises : 16
oui (et 12 « j’y participerai »)
+ une
journée de présentation des groupes et équipes paroissiaux : 12
oui (et 6 « j’y participerai »), 2 non
+ une
marche avec animation spirituelle : 11 oui (avec 7 « j’y
participerai »), 4 non
Vie spirituelle personnelle
Dans ma vie de Foi, j’aime pouvoir
:
+
participer à la Messe : 2 « une fois par jour », 19 « une fois par semaine »
+ échanger
dans un groupe chrétien : 1 « une fois par jour », 1 « une fois par semaine, 3 «
une fois par mois », 2 « une fois par trimestre », 3 « une fois par an », 3 «
jamais »
+
faire une retraite : 1 « une fois par mois », 2 « une fois par trimestre »,
5 « une fois par an », 2 « jamais »
+
prier le chapelet : 4 « une fois par jour », 7 « une fois par semaine », 2
« une fois par mois », 3 « une fois par an », 2 « jamais »
Les
messes dominicales et autres moments de prière dans nos églises
A propos des horaires des messes
dominicales :
19
trouvent la programmation actuelle pertinente ; 1 personne ne la trouve pas
pertinente.
13
estiment qu’une messe le samedi soir et une le dimanche matin seraient
suffisantes ; 5 estiment qu’il ne faut pas modifier.
A propos d’un temps d’adoration
eucharistique :
5
personnes le souhaitent une fois par semaine ; 10 personnes une fois par mois ;
2 personnes ne souhaitent pas
A la
question « nos églises sont-elles ouvertes suffisamment et accueillantes », 17
oui, 2 non
A la
question souhaitez-vous participer à la Messe dominicale plus concrètement
(choriste, lecteur, fleuriste, nettoyage ponctuel…) : 4
oui, 11 non
A propos de la catéchèse familiale :
+ « Ces questions ne me concernent
pas » : 8 personnes
+ Accepteriez-vous de participer
dans une équipe ? 1 oui, 7 non
+ «
Votre famille est-elle en attente d’activités liées à la foi et qui pourraient être
organisées dans la paroisse ? » : 1 oui, 8 non
+
A
chacun de méditer… L’EAP, avec l’aide de l’EDAP (équipe diocésaine), analysera
et tirera des conclusions.
Bon dimanche !
Chanoine Patrick Willocq
Intentions de prière pour la semaine
+
Prions Dieu pour tous les responsables de l’Église et pour ceux qui exercent un
ministère dans nos communautés : par la Croix de Jésus, que Dieu leur accorde
la grâce de l’effacement dans le service…
+
Prions Dieu pour tous ceux qui détiennent l’autorité et le pouvoir : par la
Croix de Jésus, que Dieu leur accorde le sens de la justice dans leur fonction…
+
Prions Dieu pour tous ceux qui, dans leur âme ou dans leur corps, vivent la
souffrance du Sauveur : par la Croix de Jésus qui nous sauve, que Dieu leur
accorde la lumière de l’espérance…
CONTACTS
M. le Chanoine Patrick Willocq, curéResponsable de l’Unité pastoraleCuré de tous les clochers de l’entité de LeuzeTour Saint-Pierre 157900 Leuze-en-Hainaut069/77.79.030479/62.66.20M. le Diacre Jean-Marie BourgeoisPastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaireGrand-Rue 567900 Leuze-en-Hainaut0470/100 340M. le Diacre Michel HubletMise à jour du site internetAvenue de la Croix-Rouge 447900 Leuze-en-HainautRèglement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,Curé - Adresse : voir plus hautDélégué à la protection des données :Secrétaire général de la Conférence épiscopale belge -Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1, 1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -Mail : ce.belgica@interdio.beAutorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -Secrétariat décanalTour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut069/77.79.03Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen
Nous porterons dans notre prière ...
Baptêmes
Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime !
Funérailles
Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.
Dans notre Unité pastorale…
Pour les familles… les jeunes... les enfants …
Journée des acolytes – inscriptions : https://www.riseuptournai.be/d-tails-et-inscription/tous-serviteurs-journee-des-acolytes/form
allegria - En savoir plus : https://www.mej.fr/alegria/
Hope Happening – Article : https://diocese-tournai.be/2024/10/02/un-week-end-papal-un-week-end-inoubliable/
Hope Happening – Témoignages : https://diocese-tournai.be/2024/09/30/25448/
Video du mois : https://www.youtube.com/watch?v=cft0HpaMaS4&t=3s
Dans notre Diocèse de Tournai…
Pour prendre soin des personnes qui passent par l’épreuve de la séparation, la pastorale des couples et familles propose quelques pistes pour cheminer, partager et aller de l’avant. Dans l’épreuve, Dieu est présent et se dit en creux.
En France, sur Lille, SeDiRe propose des rencontres « temps de partage » les 9 novembre et le 14 décembre, à Roubaix :
En France égalemennt (Mouvaux), le Centre spirituel du Hautmont propose des rencontres pour « Célibataires en marche », s’adressant à toute personne célibataire, séparée, divorcée, veuve et qui souhaite vivre un temps festif et de partage. La première aura lieu le 17 novembre.
De l’autre côté de notre diocèse, le centre La Pairelle propose une retraite « Avec le Christ, traverser l’épreuve de la séparation » du 30 octobre au 3 novembre 2024.
Enfin, à l’autre bout de notre petit pays, en lien avec la pastorale des familles du diocèse de Liège, le Monastère St Remacle de Wavreumont propose sa désormais traditionnelle rencontre pour les personnes séparées, divorcées et divorcées-remariées, le 11 novembre. Le thème de cette année : « Séparation, divorce… Et les
enfants ? » Pour de plus amples informations, voir affiche ci-dessous.
Dans l’Église de Belgique…
Enfants,
parents et grands-parents se préparent à fêter la 16è édition d'HolyWins à Liège.
Ce joyeux évènement a été initié en 2008 en Belgique afin de redonner un sens à
la fête de la Toussaint. Les dernières éditions ont regroupé environ 180
enfants et adultes. L'édition 2024 aura lieu le mercedi 30 octobre 2024 de
14h00 à 17h30 au Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon à Liège.
Tout débute
par un grand jeu à la découverte de belles figures de saintes et de saints.
Lors de chaque étape, un mime, un maquillage, une scénette ou un jeu fait découvrir
un visage de sainteté aux participants. Ensuite a lieu un petit temps de
louange et d'adoration adapté aux enfants. S'en suivra un goûter avec gaufres,
crêpes et chocolat chaud ! Les enfants sont invités, s'ils le souhaitent, à
venir déguisés en saints ou saintes, voire en anges avec leurs grandes ailes
blanches.
Dans
une société qui élude souvent la question de la mort, la fête d’Halloween a le
mérite de nous interroger sur ce thème, mais sans autres références que celles
empruntées à des rituels macabres et morbides. C’est pourquoi HolyWins met en
valeur la fête de la Toussaint et rappelle qu’elle est habitée par l’Espérance.
A la Toussaint, l’Eglise célèbre tous les saints – connus ou anonymes – qui
sont vivants auprès de Dieu. Selon la foi chrétienne, la mort constitue en
effet un passage vers la vie éternelle à la suite du Christ. Soutenus par cette
espérance, les croyants se rappellent le lendemain 2 novembre les défunts de
leur famille.
Laurence,
co-organisatrice explique: "Holywins est une initiative de familles et
amis de la Communauté de l'Emmanuel depuis 2008 et depuis quelques années du
Sanctuaire de Sainte Julienne de Cornillon, impliquées dans leurs paroisses de
la région liégeoise. Depuis 16 ans, nous organisons cette petite fête pour nos
propres enfants, nos amis et tous ceux que cela intéresse. Nous nous réjouissons
qu'elle grandisse d'année en année. Des centaines d'enfants ont déjà
participé à cette belle fête durant la semaine des congés de la
Toussaint."
Marie,
co-organisatrice, dit: "C'est une grande joie de fêter les saints avec
nos enfants. Je viens à Holywins avec mes enfants pour qu'ils apprennent la vie
des saints qui sont un modèle sur nos chemins. Ce genre d'activités ouvre le
coeur."
Renzo,
participant, déclare: "Cela nous semble important de vivre une après-midi
sur le thème de la sainteté, de la lumière, surtout à un moment où certains célèbrent
Haloween, la mort et les ténèbres. Je crois que la mort est un passage vers la
lumière."
Cette
fête familiale HolyWins, liée à la Toussaint, se développe un peu partout dans
le monde, au Brésil, en Espagne, en Chine, en Colombie, aux Philippines, en
France, en Italie ... et en Belgique.
Infos pratiques :
Date : Mercredi 30 octobre 2024 de
14h00 à 17h30
Lieu : Sanctuaire de sainte
Julienne de Cornillon, Rue de Robermont 2, Liège
Inscription : Vous souhaitez
participer ainsi que vos enfants a la 16e grande fête de HolyWins Liège? Inscrivez-vous
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