Paroisse de Leuze-en-Hainaut

UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Une Parole … Une Prière

28ÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
…JÉSUS POSA SON REGARD SUR LUI, ET IL LAIMA


« En ce temps-là, Jésus se mettait en route quand un homme accourut et, tombant à ses genoux, lui demanda : « Bon Maître, que dois-je faire pour avoir la vie éternelle en héritage ? » Jésus lui dit : « Pourquoi dire que je suis bon ? Personne n’est bon, sinon Dieu seul. Tu connais les commandements : Ne commets pas de meurtre, ne commets pas d’adultère, ne commets pas de vol, ne porte pas de faux témoignage, ne fais de tort à personne, honore ton père et ta mère. » L’homme répondit : « Maître, tout cela, je l’ai observé depuis ma jeunesse. » Jésus posa son regard sur lui, et il l’aima. Il lui dit : « Une seule chose te manque : va, vends ce que tu as et donne-le aux pauvres ; alors tu auras un trésor au ciel. Puis viens, suis-moi. » Mais lui, à ces mots, devint sombre et s’en alla tout triste, car il avait de grands biens.
Alors Jésus regarda autour de lui et dit à ses disciples : « Comme il sera difficile à ceux qui possèdent des richesses d’entrer dans le royaume de Dieu ! » Les disciples étaient stupéfaits de ces paroles. Jésus reprenant la parole leur dit: « Mes enfants, comme il est difficile d’entrer dans le royaume de Dieu ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu. » De plus en plus déconcertés, les disciples se demandaient entre eux : « Mais alors, qui peut être sauvé ? » Jésus les regarde et dit : « Pour les hommes, c’est impossible, mais pas pour Dieu ; car tout est possible à Dieu. »
Pierre se mit à dire à Jésus : « Voici que nous avons tout quitté pour te suivre. » Jésus déclara : « Amen, je vous le dis : nul n’aura quitté, à cause de moi et de l’Évangile, une maison, des frères, des sœurs, une mère, un père, des enfants ou une terre sans qu’il reçoive, en ce temps déjà, le centuple : maisons, frères, sœurs, mères, enfants et terres, avec des persécutions, et, dans le monde à venir, la vie éternelle. »

Évangile de Jésus Christ selon selon Saint Marc 10, 17-30
Illustration Macha Chmakoff, Le jeune homme riche, 81x65

Méditation du Pape François…

Angélus – Place St-Pierre, Rome – 10 octobre 2021

 
Chers frères et sœurs, bonjour !
La liturgie d’aujourd’hui nous propose la rencontre entre Jésus et un homme qui «avait de grands biens» (Mc 10, 22) et qui est entré dans l’histoire comme «le jeune homme riche» (cf. Mt 19, 20-22). Nous ne connaissons pas son nom. L’Évangile de Marc, en réalité, parle de lui comme «un tel», sans en mentionner l’âge et le nom, comme pour suggérer que dans cet homme, nous pouvons tous nous voir, comme dans un miroir. Sa rencontre avec Jésus, en effet, nous permet de faire un test sur la foi. En lisant cela, je fais un test sur ma foi.
Cet homme commence par une question: «Que dois-je faire pour avoir la vie éternelle? (v. 17). Notons les verbes qu’il utilise: devoir faire — pour avoir. Voici sa religiosité: un devoir, un faire pour avoir; «Je fais quelque chose pour obtenir ce dont j’ai besoin». Mais c’est une relation commerciale avec Dieu, un do ut des. La foi, en revanche, n’est pas un rite froid et mécanique, un «je dois — je fais — j’obtiens». C’est une question de liberté et d’amour. La foi est une question de liberté, est une question d’amour. Voilà un premier test: qu’est-ce que la foi pour moi? S’il s’agit principalement d’un devoir ou d’une monnaie d’échange, nous nous trompons, car le salut est un don et non un devoir, il est gratuit et ne peut pas s’acheter. La première chose à faire est de se débarrasser d’une foi commerciale et mécanique, qui insinue la fausse image d’un Dieu comptable, d’un Dieu contrôleur, pas d’un père. Et bien souvent, dans la vie, on peut vivre ce rapport de foi «commerciale»: je fais ça pour que Dieu me donne ça.
Jésus — deuxième passage — aide celui-là en lui offrant le vrai visage de Dieu. En effet — dit le texte — «il fixa sur lui son regard» et «l’aima» (v. 21): voilà qui est Dieu! C’est de là que la foi naît et renaît: non d’un devoir, non pas d’une chose à faire ou à payer, mais d’un regard d’amour à accueillir. Ainsi, la vie chrétienne devient belle, si elle ne se fonde pas sur nos capacités et nos projets, mais se fonde sur le regard de Dieu. Ta foi, ma foi est-elle fatiguée? Tu veux la fortifier? Cherche le regard de Dieu: mets-toi en adoration, laisse-toi pardonner dans la confession, place-toi devant le Crucifix. Bref, laisse-toi aimer par Lui. Voilà le commencement de la foi: se laisser aimer par Lui, qui est père.
Après la question et le regard, il y a — troisième et dernier passage — une invitation de Jésus, qui dit: «Une seule chose te manque». Que manquait-il à cet homme riche? Le don, la gratuité: «Va, ce que tu as, vends-le et donne-le aux pauvres» (v. 21). C’est peut-être ce qui nous manque aussi. Souvent, nous faisons le minimum indispensable, alors que Jésus nous invite au maximum possible. Combien de fois nous contentons-nous des devoirs — les préceptes, quelques prières et tant de choses comme ça — alors que Dieu, qui nous donne la vie, nous demande des élans de vie! Dans l’Evangile d’aujourd’hui, nous voyons clairement ce passage du devoir au don; Jésus commence par rappeler les commandements: «Ne tue pas, ne commets pas d'adultère, ne vole pas…» et ainsi de suite (v. 19), et arrive à la proposition positive: «Va, vends, donne, suis-moi!» (cf. v. 21). La foi ne peut se limiter aux non, car la vie chrétienne est un oui, un oui d’amour.
Chers frères et sœurs, une foi sans don, une foi sans gratuité est une foi incomplète, c’est une foi faible, une foi malade. Nous pourrions la comparer à un aliment riche et nourrissant qui manque cependant de saveur, ou à un match plus ou moins bien joué mais sans but: non, ça ne marche pas, il n’y a pas de «sel». Une foi sans don, sans gratuité, sans œuvres de charité finit par nous rendre tristes: comme cet homme qui, bien que regardé avec amour par Jésus lui-même, rentra chez lui «attristé» et «assombri» (v. 22) . Aujourd’hui, nous pouvons nous demander: «Où en est ma foi? Est-ce que je la sens comme une chose mécanique, comme une relation de devoir ou d’intérêt avec Dieu? Est-ce que je me souviens de la nourrir en laissant Jésus me regarder et m’aimer?». Se laisser regarder et aimer par Jésus; laisser Jésus nous regarder, nous aimer. «Et, attiré par lui, est-ce que je réponds avec gratuité, avec générosité, de tout mon cœur?».
Que la Vierge Marie, qui a dit un oui total à Dieu, un oui sans mais — il n’est pas facile de dire oui sans mais: la Vierge l’a fait, un oui sans mais — nous fasse savourer la beauté de faire de la vie un don.

: Vatican
La Vidéo du Pape
En tant que chrétiens, nous sommes tous responsables de la mission de l’Église. Tous les prêtres. Chacun d’entre nous.
Nous, les prêtres, ne sommes pas les maîtres des laïcs, mais leurs pasteurs. Jésus nous a appelés les uns et les autres. Et non pas pour que les uns soient supérieurs aux autres, ni pour que les uns soient d’un côté et les autres de l’autre, mais afin que nous nous complétions. Nous formons une communauté. C’est pourquoi nous devons marcher tous ensemble sur le chemin de la synodalité.
Vous pourriez me demander : « Que puis-je faire, moi qui suis chauffeur de bus ? Ou moi, agricultrice ? Ou encore moi, pêcheur ? » La réponse est simple : ce que nous devons tous faire, c’est témoigner par nos vies et partager la responsabilité de la mission de l’Église.
Les laïcs, les baptisés, sont chez eux dans l’Église, et ils doivent en prendre soin. Il en va de même pour nous, les prêtres, les consacrés. Chacun apporte ce qu’il sait faire le mieux. Nous sommes coresponsables de la mission, nous participons et vivons dans la communion de l’Église.
Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.



Prions pour que l’Église continue à soutenir, de toutes les manières possibles, un style de vie synodal, sous le signe de la coresponsabilité, en favorisant la participation, la communion et la mission partagée entre prêtres, religieux et laïcs.
Pape François – Octobre 2024



Méditation de notre Évêque, Mgr Guy Harpigny…
Un nouvel équilibre entre les nations (II)
 
 
Un essai de compréhension du réel  
En suivant largement le dernier ouvrage de Gilles Kepel, Holocaustes, Israël, Gaza et la guerre contre l’Occident, Paris, Éditions Plon, mars 2024, je vais essayer de mettre en lumière quatre aspects qui pourraient nous aider à comprendre ce qui se passe. Gilles Kepel a un grand-père, Rudolf Kepl (1876-1958), originaire de Bohême, alors territoire de l’empire austro-hongrois, venu à Paris durant la Belle Époque pour traduire Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky (1880-1918), sujet polonais de l’empire russe, et, ensuite, être ballotté à travers l’Europe jusqu’au rideau de fer. Le père de Gilles, Milan Kepel (1928-2019), était acteur et dramaturge. Il a traduit en français l’œuvre de Vaclav Havel (1936-2011). Gilles est né à Paris en 1955. Arabisant, il est spécialiste du monde arabe contemporain et de l’islam radical. Professeur des universités, il a enseigné dans plusieurs Universités et Écoles de Paris.  
Dans les médias, il est parfois opposé à Olivier Roy, né à La Rochelle en 1949, dans une famille protestante. Durant ses études pour l’agrégation en philosophie, il étudie le persan. Il vit durant des années en Afghanistan, occupé par les armées de l’Union Soviétique. Ensuite, il fera des recherches en Ouzbékistan, Tadjikistan, Turquie, Iran, Pakistan et au Yémen. Il a enseigné dans des lycées en France. En 2009, il est professeur à l’Institut Universitaire Européen à Florence (Italie), où il a la charge du monde méditerranéen.
Pour comprendre le réel, examinons les faits et prenons connaissance de l’interprétation musulmane de ces faits
I. La razzia du 7 octobre 2023
Les faits
À l’aube, le 7 octobre 2023, près de 3 000 fedayin (combattants) du Hamas, le Mouvement de la résistance islamique palestinien, franchissent par vingt-neuf points, la barrière de sécurité supposée inviolable, établie sur la frontière entre Gaza et Israël.
Les cibles sont les kibboutz voisins, peuplés en majorité de militants de gauche israéliens, adeptes de divers mouvements pacifistes. Une autre cible est une grande fête musicale de jeunes, la « Tribu de Nova ».
Qui habite la Bande de Gaza ? Plus de deux millions de personnes, descendantes pour la plupart des Palestiniens chassés par la création de l’État d’Israël en 1948.
La date correspond à la fête religieuse juive de Sim’hat Torah, qui marque la fin du cycle annuel de la lecture de la Torah.
Derrière les 3 000 fedayin, des frontaliers palestiniens de la Bande Gaza arrivent avec des caméras thoraciques GoPro afin de filmer et de diffuser instantanément en ligne leur geste « héroïque » pour l’édification des musulmans du monde entier et l’information des sympathisants partout sur la planète.
Les statistiques annoncent 1 140 victimes et 250 otages enlevés et cachés dans les tunnels de Gaza. Parmi les otages, 105 seront libérés fin novembre 2023, en échange de plus de 300 prisonniers palestiniens. Les images permettent à Israël d’identifier douze attaquants comme des employés de l’organisme de l’ONU qui distribuent l’aide humanitaire aux réfugiés palestiniens.
Outre les cibles israéliennes, on compte des travailleurs agricoles thaïlandais et africains.
On assiste à la plus importante tuerie d’Israéliens, de Juifs, depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.
Réactions
Le carnage du Bataclan du 13 novembre 2015 est encore dans toutes les mémoires. Les assaillants étaient des jihadistes (musulmans qui prônent la violence pour rétablir un État islamique) de Daesh (État islamique proclamé le 29 juin 2014) ; ils avaient tué des jeunes assistant à un concert. Beaucoup de Français s’identifient aux victimes de la « Tribu de Nova ».
En Europe occidentale, le flux migratoire est accompagné de tensions interethniques et interconfessionnelles. Beaucoup s’inquiètent des tenants du salafisme (idéologie qui prône le retour aux pratiques musulmanes du temps du prophète), du frérisme (idéologie des Frères Musulmans fondés par Hassan al-Banna en Égypte au XXe siècle) et du jihadisme qui prêchent la séparation entre les « fidèles » d’un côté (les musulmans) et les « mécréants » de l’autre (les non-musulmans ou encore les apostats musulmans qui ont changé de religion), dont le sang et les biens sont déclarés licites, assassinats et pillages à l’appui.  L’offensive militaire israélienne commence le 27 octobre 2023. Le nombre de civils palestiniens augmente de manière exponentielle. Même aux États-Unis, qui soutiennent Israël, des manifestations dénoncent les souffrances infligées aux Palestiniens. Les campus des universités les plus prestigieuses du monde (Harvard, etc.) voient défiler des étudiants qui crient leur indignation face à Israël. Le monde politique américain constate le retournement de l’opinion habituellement favorable à Israël. Fin novembre 2023, on compte déjà 15 000 morts palestiniens, des civils, beaucoup d’enfants. Jamais depuis les guerres menées par Israël à partir de 1948, on avait atteint ce nombre. (à suivre)
.+  Guy Harpigny,
Évêque de Tournai
(Source : Eglise de Tournai, octobre 2024)
 


  

Un mot du Curé…

CÉLÉBRATION DE RENTRÉE
AVEC LES FAMILLES EN CATÉCHÈSE

Le dimanche 20 octobre, ce sera la rentrée officielle de la catéchèse initiatique pour cette année pastorale 2024-2025 dans l’unité pastorale.  
 
La catéchèse initiatique des enfants (première communion & profession de foi-confirmation-eucharistie qui achève l’initiation chrétienne) et le catéchuménat des jeunes et des adultes (initiation chrétienne complète ou confirmation et/ou première eucharistie) sont aujourd’hui très proches dans leurs fondements et leur réalisation. En effet, le processus catéchétique mis en place dans notre Diocèse depuis 2015 veut se concentrer sur
 
+ la Messe dominicale comme le premier lieu de catéchèse
 
+ une catéchèse familiale où les membres de la famille (parents, frères et sœurs…) sont initiés en même temps que l’enfant concerné par une communion ou une confirmation, afin que, notamment, les parents puissent devenir les catéchistes de leur enfant et poursuivre à la maison le cheminement proposé (exemples chez nous : les rencontres en équipe de catéchèse)
 
+ une catéchèse intergénérationnelle c’est-à-dire qui n’est pas limitée à un âge ou une année scolaire mais qui invite largement, puisque tout baptisé a besoin de « grandir dans la foi » (titre d’une lettre des Évêques de Belgique) (exemples chez nous : « Cinéma à l’église » ou chemin de croix du Vendredi Saint ou…)
 
+ une catéchèse qui n’explique plus « comment faire » pour vivre correctement la première communion ou la confirmation, mais qui propose de découvrir qui est Jésus le Christ (Dieu fait homme mort et ressuscité, une des 3 personnes de la Trinité…) et le chemin de vie sur lequel il appelle chacun pour marcher avec lui (la vocation chrétienne ou baptismale).
 
Une rencontre de présentation de ce projet a été proposée à toutes les familles qui le souhaitaient le vendredi 20 septembre ; la nef centrale de la collégiale Saint-Pierre était bien remplie. Cette année, après avoir dépouillé les bulletins d’inscription remis par les parents, on compte environ 75 familles qui souhaitent faire quelques pas sur ce chemin, c’est-à-dire en lesquelles un enfant et, nous l’espérons, toute sa famille vont cheminer à la découverte de Jésus et de son projet de bonheur, sa Bonne Nouvelle, son Évangile. Certains de ces enfants, environ 40, ont souhaité célébrer la première communion en mai de l’année prochaine ; 25 jeunes ont souhaité faire profession de foi, recevoir le sacrement de Confirmation et de l’Eucharistie qui achève l’Initiation chrétienne. Et les autres, une trentaine, vont « simplement » cheminer à la rencontre de Jésus. C’est finalement un accompagnement quasi individuel que nous devons proposer car l’histoire de chacun d’entre nous est unique et l’histoire de chacun d’entre nous avec le Christ Jésus est aussi unique.
 
Pour découvrir la présence du Christ Jésus dans nos vies, l’un des chemins à proposer est sans aucun doute la lecture et la méditation de l’Évangile, ou plus largement de la Bible. Dimanche, les enfants recevront donc chacun de quoi nourrir cette méditation en famille : les plus jeunes, une histoire de Jésus en bandes dessinées et les aînés, les pages les plus importantes de toute la Bible, Ancien et Nouveau Testaments, en bandes dessinées également, le support venant aider à cet âge à entrer dans la portée des paroles. Particularité de ces bandes dessinées : le texte repris dans les cartouches ou les bulles est celui de la nouvelle Traduction Liturgique de la Bible, c’est-à-dire le même texte que celui qui est proclamé lors des célébrations. Un autre « outil » offert aux familles est cette « Chronique des Clochers » hebdomadaire : elle comporte toujours au moins deux pages destinées à prier, méditer la Parole en famille à la maison.
 
Après ce début d’année en célébration, les rencontres vont s’étaler jusque mai : douze temps de rencontre sont prévus au calendrier remis aux familles : quatre ou cinq catéchèses en petites équipes, deux catéchèses tous ensemble en grande assemblée, et six célébrations particulières. À côté de ces rencontres spécifiques, toutes les familles sont invitées le samedi ou le dimanche à rejoindre une des célébrations eucharistiques dans un des clochers de l’unité pastorale ; chaque fois qu’un certain nombre de familles seront présentes, nous veillerons à adapter un moment de la célébration (notamment l’homélie dont le but est d’aider à entrer dans la Parole de Dieu entendue) à l’âge des plus jeunes.
 
Il est toujours enthousiasmant (en tout cas, pour moi) d’ouvrir cette catéchèse familiale et de la voir se dérouler durant toute une année. Car il s’agit bien d’une catéchèse « en famille », que ce soit lors des rencontres spécifiques ou lors des célébrations. Et parfois, il me revient qu’à la maison, autour du dîner ou du souper, certains enfants reviennent avec leurs parents sur telle activité ou telle découverte reçue lors d’une catéchèse. Là, c’est magnifique, car les parents deviennent alors des témoins de foi pour leurs enfants… N’est-ce pas notre souhait le plus profond ?...  
 
Bon dimanche !
Chanoine Patrick Willocq

Intentions de prière pour la semaine

+ Pour nous-mêmes appelés à marcher à la suite de Jésus, et pour celles et ceux qu’il appelle à tout quitter à cause de lui et de l’Evangile… Nous te prions, Père…
+ Pour les catéchumènes qui découvrent Jésus Christ, et pour tous les hommes en quête de sagesse spirituelle… Nous te prions, Père…
+ Pour tant d’adultes et de jeunes fascinés par tant de pièges trompeurs, pour tous ceux qui ont à faire un choix décisif dans leur vie… Nous te prions, Père…
+ Pour tous ceux, adultes ou jeunes, qui sont tentés par le désespoir, et pour ceux qui savent les écouter dans leur épreuve… Nous te prions, Père…
+ Pour nos communautés, pour tous nos frères et sœurs absents… Nous te prions, Père…
 




CONTACTS

M. le Chanoine Patrick Willocq, curé
Responsable de l’Unité pastorale
Curé de tous les clochers de l’entité de Leuze
Tour Saint-Pierre 15
7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
0479/62.66.20

M. le Diacre Jean-Marie Bourgeois
Pastorale du Baptême des petits enfants – Pastorale scolaire
Grand-Rue 56
7900 Leuze-en-Hainaut
0470/100 340

M. le Diacre Michel Hublet
Mise à jour du site internet
Avenue de la Croix-Rouge 44
7900 Leuze-en-Hainaut

Règlement Général sur la Protection des Données – RGPD – 25 05 2018


Responsable du traitement des données personnelles : Abbé Patrick Willocq,
Curé - Adresse : voir plus haut
Délégué  à la protection des données :
Secrétaire général de la Conférence  épiscopale belge -
Adresse : asbl Centre interdiocésain, rue Guimard 1,  1040 Bruxelles - Tél. : 02/507 05 93 -
Autorité de contrôle : Rue de la Presse 35, 1000 Bruxelles - Tél. : 02/274 48 00 -

Secrétariat décanal
Tour Saint-Pierre 15 – 7900 Leuze-en-Hainaut
069/77.79.03
Permanences : mardi et vendredi de 9h30 à 12h00
En cas d’absence, s’adresser à M. le Doyen

Nous porterons dans notre prière ...

Baptêmes
 
- Le dimanche 12 octobre, à 14h30, en l’église de Leuze, Thelyo Grulois, enfant de Emia Lefebvre et Célestin Grulois

Que ces enfants découvrent combien notre Dieu les aime !  
 
 
Mariages

 
Funérailles
 
Madame Arlette Prade demeurait à Pipaix. La célébration des Funérailles a eu lieu en l’église de Pipaix le 08 octobre 2024.
 
Aux proches, nous redisons toute notre sympathie dans la foi et l’espérance de l’Évangile.
Dans notre Unité pastorale…







Pour les familles… les jeunes... les enfants






Journée des acolytes – inscriptions : https://www.riseuptournai.be/d-tails-et-inscription/tous-serviteurs-journee-des-acolytes/form  
allegria - En savoir plus : https://www.mej.fr/alegria/  
Hope Happening – Article : https://diocese-tournai.be/2024/10/02/un-week-end-papal-un-week-end-inoubliable/  
Hope Happening – Témoignages : https://diocese-tournai.be/2024/09/30/25448/  
Video du mois : https://www.youtube.com/watch?v=cft0HpaMaS4&t=3s  

Dans notre Diocèse de Tournai…








Pour prendre soin des personnes qui passent par l’épreuve de la séparation, la pastorale des couples et familles propose quelques pistes pour cheminer, partager et aller de l’avant. Dans l’épreuve, Dieu est présent et se dit en creux.
 
 
En France, sur Lille, SeDiRe propose des rencontres « temps de partage » les 9 novembre et le 14 décembre, à Roubaix :


 
En France égalemennt (Mouvaux), le Centre spirituel du Hautmont propose des rencontres pour « Célibataires en marche », s’adressant à toute personne célibataire, séparée, divorcée, veuve et qui souhaite vivre un temps festif et de partage. La première aura lieu le 17 novembre.

   
 
De l’autre côté de notre diocèse, le centre La Pairelle propose une retraite « Avec le Christ, traverser l’épreuve de la séparation » du 30 octobre au 3 novembre 2024.  
 

 
 
Enfin, à l’autre bout de notre petit pays, en lien avec la pastorale des familles du diocèse de Liège, le Monastère St Remacle de Wavreumont propose sa désormais traditionnelle rencontre pour les personnes séparées, divorcées et divorcées-remariées, le 11 novembre. Le thème de cette année : « Séparation, divorce… Et les
 
enfants ? » Pour de plus amples informations, voir affiche ci-dessous.
 

 
 











 
Pour sa 6e journée d’étude consacrée au patrimoine religieux qui aura lieu le 18 octobre 2024, le CIPAR abordera la thématique de l’image peinte en y exposant son histoire, son sens et les enjeux de sa conservation.
 

 
La plupart de nos églises sont remplies d’images saintes léguées par les générations qui nous ont précédés. La peinture sur toile et sur panneau occupe une place prépondérante parmi ces images qui ornent les lieux de culte. Maîtres- autels, autels latéraux, chemins de croix ou œuvre isolée évoquant un récit biblique particulier ou la vie d’un saint, sont autant de supports pour lesquels la peinture a été plébiscitée.
Mieux connaître pour mieux conserver
La première partie de la journée sera consacrée au sens et à l’histoire de la présence de l’image peinte dans les édifices religieux ainsi qu’à leur fonction. Nombreux sont les édifices qui conservent encore un chemin de croix peint sur toile ou sur panneau. Exceptées quelques réalisations particulièrement remarquables, ce type de mobilier est souvent mal perçu, raison pour laquelle une attention particulière lui sera apportée pendant cette journée.
La seconde partie de la journée portera sur la conservation préventive de la peinture sur toile ou sur panneau en mettant en avant le travail de terrain des services diocésains du patrimoine et des différentes initiatives émanant des diocèses et des Fabriques d’église pour préserver et restaurer ce patrimoine.
Cette journée d’étude s’adresse aux responsables d’églises et à tout amateur de patrimoine religieux. Elle sera suivie de la parution d’une publication sur le même sujet. Celle-ci rassemblera, suivant le modèle des brochures précédentes du CIPAR, des recommandations et des conseils pratiques pour observer au mieux la peinture et savoir quand et comment agir pour assurer sa conservation de manière durable. Sur la même thématique, une nouvelle exposition itinérante verra le jour et voyagera dans les diocèses à partir du printemps 2025.
Programme
9h00 : accueil
9h30 : mot d’accueil par Laurent Temmerman (Administrateur CIPAR)
Matinée placée sous la présidence de Julien Maquet (Conservateur du Trésor de la cathédrale de Liège)
9h40 : Les sens, fonctions et types d’images peintes dans les églises par Ralph Dekonink (UCLouvain)
10h10 : Histoire et sens du chemin de croix par Christian Pacco (Administrateur délégué CIPAR)
10h30 : Objets de nos églises trop souvent négligés : les tableaux par Pierre-Yves Kairis (Directeur émérite de la section de recherches en histoire de l’art de l’IRPA)
11h10 : pause-café
11h30 : Comment réaliser l’inventaire des peintures d’une église et problématiques de conservation par le service du Patrimoine de l’Évêché de Liège
12h15 : questions-réponses
12h30 : repas de midi
Après-midi sous la présidence de Yves Charlier (Administrateur du CIPAR)
13h30 : Comment rédiger un marché public pour une intervention de conservation-restauration ? par Léopold d’Otreppe (Collaborateur CIPAR)
14h00 : questions-réponses
14h15 : La conservation des tableaux des lieux de culte désaffectés par Déborah Lo Mauro (Conservatrice du Centre d’Histoire et d’Art Sacré en Hainaut, CHASHa asbl)
14h45 : témoignages de restauration Tableau à l’église Saint-Remy d’Ottignies par Benoit Paul (Président de la Fabrique d’église)
Tableau de l’église Saint-Martin d’Acoz par Bernard Alexandre (Président de la Fabrique d’église)
Les peintures sinistrées lors des inondations de juillet 2021 : retour d’expérience et prise en charge par le service Patrimoine du diocèse de Liège
15h25 : pause-café
15h45 : suite des témoignages
Le cas particulier de l’atelier de conservation-restauration communal de la ville d’Ath par Laurent Dubuisson (directeur-conservateur de la maison des Géants)
16h05 : questions
16h20 : conclusion de la journée par Jean-Pierre Lorette (Administrateur CIPAR)
Informations pratiques
Thème de la journée : La peinture, tableaux et panneaux
: Namur, Arsenal (rue Bruno 11, 5000 Namur)
Quand : vendredi 18 octobre 2024, de 9h00 à 16h30
Inscriptions : par mail à info@cipar.be ou par tél. +32 (0) 498 35 18 16 avant le 7 octobre
Participation aux frais : 40 € (25 € prix étudiant) à verser sur le compte BE60 5230 8094 6070 du CIPAR
Ce prix inclut la participation aux exposés, les pauses et le lunch. Pour les fabriciens le montant peut être porté en compte à l’article 11 sous la rubrique des dépenses ordinaires de la fabrique d’église. Une attestation de participation sera délivrée.
Le paiement valide l’inscription.
Organisation et contact : CIPAR, place du Palais de Justice 3, 5000 Namur. Tél. +32 498 35 18 16
Journée organisée avec le soutien de l’AWaP, de la FWB et de la Conférence épiscopale de Belgique.
Lecture du soir… ou du matin…

« PASSE LE TEMPS » PAR ANNE-DAUPHINE JULLIAND

L’Art qui conduit à la Transcendance


* ARTS VISUELS :
LES MADONNELLES À ROME – « LES FEMMES ET LA PASSION » À LILLE


* LIVRES
ANNE-DAUPHINE JULLIAND, AJOUTER DE LA VIE AUX JOURS



* MUSIQUE :
JEAN-SÉBASTIEN BACH : CANTATE BWV 8 ET TROIS TOCCATAS ET FUGUES  (BWV564-566) + TROIS PRÉLUDES (BWV 567-569) – REMO GIAZOTTO, ADAGIO DIT  « D’ALBINONI »












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